Le Cap Bon...un pays en miniature
Dans sa dénomination arabe, al Watan al Qibli (la Patrie du Sud), le terme watan (patrie) traduit bien la spécificité de cette presqu’île de 2.269,25 km², peuplée d’environ 700.000 habitants
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Après une licence en sociologie obtenue à la Sorbonne, Tahar Ayachi a choisi de se consacrer au patrimoine tunisien afin de contribuer à sa sauvegarde, à sa mise en valeur et à son "recyclage" dans la vie économique et sociale à travers le journalisme (dans le quotidien La Presse de Tunisie, à la radio et à la télévision) et la vie associative (fondateur du Club des Vadrouilleurs).
Dans sa dénomination arabe, al Watan al Qibli (la Patrie du Sud), le terme watan (patrie) traduit bien la spécificité de cette presqu’île de 2.269,25 km², peuplée d’environ 700.000 habitants
La suite(Kairouan – Kasserine – Sidi Bouzid) Région totalement enclavée, elle s’étend sur 22.372 km² pour une population de 1,37 millions d’habitants (13,5 % du total national).
La suiteAvec une superficie de 35.971,99 km², le Sud-ouest représente près du quart du territoire national pour une population de près de 600.000 personnes, soit près de 17 habitants au km². C’est que ce territoire est dans sa plus grande partie pré-désertique ou carrément désertique dans ce qu’on appelle le Sahara tunisien.
La suite(Gabès-Médenine-Tataouine) Plaines côtières, massifs montagneux, désert caillouteux et une grande île, Djerba, composent l’essentiel du paysage de cette région qui s’étend sur une superficie d’environ 47.272,27 km², soit plus du tiers de la superficie totale du pays pour une population d’environ 950.000 âmes.
La suite(Jendouba-Le Kef-Siliana) Existe-t-il réellement une entité physique et socio-économique que l’on pourrait désigner par l’appellation Nord Ouest et qui présenterait une unité telle qu’elle pourrait être considérée comme une région à part entière ? Evidemment, non. Mais l’usage a consacré cette perception, alors, adoptons-la à notre tour.
La suiteLa région tunisoise englobe, outre la ville et le gouvernorat de Tunis à proprement parler et ceux, limitrophes, de l’Ariana, de la Manouba, et de Ben Arous qui en constituaient les banlieues nord, ouest et sud, ainsi que celui de Zaghouan, son prolongement naturel auquel il est relié par ce « cordon ombilical » qu’est l’aqueduc romain qui alimentait la capitale en eau potable venue des sources du jebel Zaghouan.
La suiteDepuis sa mythique fondation en 814 av JC par une belle princesse exilée, Didon, à sa totale destruction en l’an 146 av JC par l’Empire romain. L’histoire de cette ancienne « Quart Hadasht », ville neuve des phéniciens , raconte les ambitions des marins puniques et l'élan artistique et intellectuel des romains
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