Avec la pression des grands groupes sur l’hôtellerie et le commerce, Saint Tropez risque de perdre son authenticité pour ressembler de plus en plus à une annexe de La Croisette à Cannes ou la Place du Casino de Monte Carlo…
Après d'âpres négociations, le groupe LVMH détient le bel hôtel de l'Ambassade.
Propriétaire d'une villa dans les Parcs de Saint-Tropez, Bernard Arnault, l’homme le plus fortuné d'Europe d’après le magazine Forbes, joue les Prince de la cité du Bailli.
Il impose ses boutiques de luxe dans la petite cité avec Céline, puis Dior, qui ouvrira en juin.
Sur le port, il a installé l’institut de beauté chic et girly Make Up For Ever. Un autre local, acquis récemment pourrait accueillir le styliste italien Fendi (propriété de LVMH).
Autre groupe français du luxe, le groupe PPR, contrôlé par la famille Pinault, installe Bottega Veneta - maison réputée pour ses sacs de cuir tressés à la main - fin mai.
Propriétaire d'une villa dans les Parcs de Saint-Tropez, Bernard Arnault, l’homme le plus fortuné d'Europe d’après le magazine Forbes, joue les Prince de la cité du Bailli.
Il impose ses boutiques de luxe dans la petite cité avec Céline, puis Dior, qui ouvrira en juin.
Sur le port, il a installé l’institut de beauté chic et girly Make Up For Ever. Un autre local, acquis récemment pourrait accueillir le styliste italien Fendi (propriété de LVMH).
Autre groupe français du luxe, le groupe PPR, contrôlé par la famille Pinault, installe Bottega Veneta - maison réputée pour ses sacs de cuir tressés à la main - fin mai.
Ailleurs on annonce l’arrivée du joaillier parisien Mauboussin. Une dizaine de grandes marques (Gucci, Ralph Lauren, Chanel, Cartier, etc.) devraient s'implanter.
A ce rythme, Saint Tropez risque fort de perdre son âme de village provençal qui fait son charme et son attractivité.
D’autant qu’entre temps, la crise a épuisé les particuliers et les familles n'ont plus les moyens de se fixer à Saint-Tropez qui risque de devenir un village de luxe l’été et une cité fantôme l’hiver.
A ce rythme, Saint Tropez risque fort de perdre son âme de village provençal qui fait son charme et son attractivité.
D’autant qu’entre temps, la crise a épuisé les particuliers et les familles n'ont plus les moyens de se fixer à Saint-Tropez qui risque de devenir un village de luxe l’été et une cité fantôme l’hiver.
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source: TourMag
