De retour d'un déplacement à l'étranger Georges Colson n'a pas tardé à répondre aux propos de campagne de Frank Voragen qui brigue contre lui la présidence du SNAV : « Le SNAV ne va pas dans le mur ! » affirme Georges Colson «... et il n'est, non plus, au bord de la faillite ! ».
« Je ne tiens pas à polémiquer. Je ne suis pas en campagne électorale.
Je suis aujourd'hui président d'un organisme qui travaille avec un conseil d'administration. Le sujets sont nombreux.
Nous sommes en période de crise et les affaires sont difficiles pour toute la profession.
Que Monsieur Voragen parte en campagne ne me dérange pas. Au contraire. Il faut des candidats.
Permettez-moi toutefois de désapprouver la méthode et les propos. Je les désapprouve d'autant plus qu'ils viennent d'un administrateur dont on pourrait attendre un devoir de réserve.
Je suis aujourd'hui président d'un organisme qui travaille avec un conseil d'administration. Le sujets sont nombreux.
Nous sommes en période de crise et les affaires sont difficiles pour toute la profession.
Que Monsieur Voragen parte en campagne ne me dérange pas. Au contraire. Il faut des candidats.
Permettez-moi toutefois de désapprouver la méthode et les propos. Je les désapprouve d'autant plus qu'ils viennent d'un administrateur dont on pourrait attendre un devoir de réserve.
« Je désapprouve la méthode et les propos... »
Je sais que certaines personnalités aimeraient diviser notre profession. Monsieur Voragen croit-il dans sa démarche aider l'organisation qu'il souhaiterait présider ?
Il doit prendre ses responsabilités. »
A la question de savoir s'il conteste les chiffres avancés par Frank Voragen Georges Colson répond :
« Je n'ai pas à commenter ces chiffres.
Je regrette au nom du Conseil d'Administration du SNAV qu'un administrateur se permette d'utiliser des éléments provisoires qui n'ont été approuvés ni par notre Conseil d'Administration ni par notre Assemblée Générale, pour les lancer sur la place publique.
Les chiffres vont être arrêtés et vérifiés par un Commissaire aux Comptes, comme le veut la loi, et présentés à notre Conseil d'Administration du 15 mars et à notre Assemblée Générale du 27 avril.
Ils démontreront que le SNAV ne va pas dans le mur et qu'il n'est pas, non plus, au bord de la faillite ! »
Il doit prendre ses responsabilités. »
A la question de savoir s'il conteste les chiffres avancés par Frank Voragen Georges Colson répond :
« Je n'ai pas à commenter ces chiffres.
Je regrette au nom du Conseil d'Administration du SNAV qu'un administrateur se permette d'utiliser des éléments provisoires qui n'ont été approuvés ni par notre Conseil d'Administration ni par notre Assemblée Générale, pour les lancer sur la place publique.
Les chiffres vont être arrêtés et vérifiés par un Commissaire aux Comptes, comme le veut la loi, et présentés à notre Conseil d'Administration du 15 mars et à notre Assemblée Générale du 27 avril.
Ils démontreront que le SNAV ne va pas dans le mur et qu'il n'est pas, non plus, au bord de la faillite ! »
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source: TourMag
