La 3ème édition du Jazz à Carthage by Tunisiana a démarré sous de bons auspices, à la Cathédrale Saint Louis, espace magique et féérique qui séduit plus d’un artiste.
Après trois spectacles successifs, magiques et exceptionnels, à l’Acropolium, en l’occurrence celui de Anouar Brahem, en ouverture de la manifestation, de Richard Bona, l’enfant prodige du Cameroun, installé à New York, et de Lee Konitz qui a rencontré Martial Sola& his Guests, le Jazz à Carthage by Tunisiana, a élu domicile, au « Barcello Carthage Thalasso », pour de nouveaux spectacles aussi exceptionnels.
Au menu, après The Kenny Garrett Quartet, c’est Abdullah Ibrahim qui a pris la relève, pour la céder le 19 avril à Al Di Meola Project. Le clou du festival sera sans aucun doute, le spectacle intitulé « J’ai deux amours », de la grande Dee Bridgewater. D’ailleurs, ce spectacle se joue à guichets fermés. Plus un billet n’est disponible pour pourvoir admirer l’artiste jazzy qui n’est pas venue en Tunisie, depuis des années.
La clôture du festival sera assurée par Ike Turner and the Kings of Rythms, le 21 avril, au même endroit. Jazz à Carthage, c’et aussi, à Enejma Ezzahra qui a abrité, deux concerts dans la section « Jazz Attitude », assurés par deux jeunes tunisiens, Wajdi Chérif et Mehdi Trabelsi. Mais c’et aussi, les Master class, le jazz Club à l’hôtel « Le Renaissance »…
Pendant presque une dizaine de jours, Tunis et sa banlieue auraient vibré aux rythmes du jazz….grâce à une initiative de Tunisiana, toujours plus proche de ses clients et de Scoop organisation.
Photos de Anis MILI