Avec la levée des restrictions de voyage de la part de la France , de l’Allemagne , de la Grande Bretagne et finalement hier de la part de la Suisse et l’abrogation  du couvre-feu, la destination Tunisie revient en grandes pompes. Les TO, surtout ceux spécialistes de la Tunisie, qui attendaient impatiemment ces mesures font depuis hier du « forcing » commercial pour se rattraper sur une saison donnée pour perdue.

La Tunisie réapparait sur la première page de la plupart des TO. TourEco ,premier tour opérateur lowcost en France a déjà remis la destination Tunisie  en tant que destination d’appel . « La situation  s’est améliorée en Tunisie, les séjours sur la zone côtière et dans l’île de Djerba ont repris» a-t-il précisé dans une alerte à ces clients. Rappelant que Ecotour a participé activement à la campagne « un milliard de PAP » (page avec publicité) initié par Patrick Robin

Maramara voyages, un autre TO spécialiste de la Tunisie met les bouchés doubles pour relancer la destination en offrant un séjour gratuit pour chaque séjours acheté. Une opération de séduction sans précédent qui confirme l’engagement du TO à relancer la destination. « Tunisie, un nouveau pays  vous accueille », annonce le tour opérateur sur son site. L’offre comprend le séjour, le billet d’avion et les taxes d’aéroport et est valable jusq’ au 31 mars.

Pour sa part Amplitravel, autre spécialiste de la Tunisie, annonce qu’il table sur 800 clients par semaine et vient de conclure un partenariat avec le transporteur national Tunisair pour que ses clients aient la priorité dans les départs. Le dispositif mis en place par le TO prévoit des vols au départ de tous les aéroports de France.

De son coté FRAM, annonce à ses client dans un communiqué que «  Les voyages reprendront sous réserve que les conditions opérationnelles (aériennes et hôtelières) nécessaires au redémarrage soient réunies »

Du coté Helvétique, les principaux TO comme Hotelplan ou Tui suisse  ont commencé à reprogrammer la Tunisie après la levée des restrictions de voyage par  les autorités suisses  sur les régions touristiques.





Fethi Djebali