Dix-sept unités hôtelières ont mis la clef sous le paillasson dans la région de Tozeur, à la lisière du désert tunisien (Sud), depuis la chute de Ben Ali dans le sillage d’une révolte populaire. Ce chiffre effrayant a été annoncé mors d’une journée d’étude organisée samedi par l’Association de préservation de la médina de Tozeur avec le concours de la Fédération tunisienne des agences de voyages (FTAV) et la Fédération tunisienne de l’hôtellerie (FTH).
Selon les professionnels, la fermeture de ces unités hôtelières est consécutive non seulement au climat d’insécurité qui a prévalu en Tunisie mais aux difficultés d’ordre structurel dont souffre le tourisme saharien.