Depuis 3 ans, l'Office du Tourisme d'Algérie, a mené une campagne pour la promotion de son salon SITEV à Alger sur l'ensemble de la presse professionnelle française. Une campagne globale d'environ 100 000 euros, visant à promouvoir la manifestation et sa destination. Làs, depuis cette date et malgré les promesses des dirigeants successifs, le "drapeau" est toujours là, planté bien droit dans les bilans des supports professionnels français.
L'Algérie vient parader chaque année à Top Resa et au Salon Mondial du Tourisme.
Elle cherche a promouvoir le tourisme en Algérie avec des campagnes de communication qu'elle ne règle pas à la presse professionnelle française.
La destination "balade" depuis 3 ans les petits créanciers français avec des promesses fallacieuses de règlement.
Cette année encore, c'était promis, juré, craché :on allait régler avant le MAP. On a même reçu (elles datent de novembre 2011) les demandes d'ordre de virement en bonne forme... mais l'argent lui est toujours coincé quelque part, dans les méandres de l'administration algérienne.
Peut-on espérer qu'à la veille de la célébration des accords d'Evian, l'état algérien en profite pour régler aussi ses dettes aux créanciers français ?
Rien n'est moins sûr. Mais nous nous sommes promis d'évoquer et de remettre l'affaire sur le tapis jusqu'à ce cette créanjce soit réglée.
Nous avons déjà fait un courrier à l'Ambassadeur à Paris (sans résultat), écrit au Secrétaire d'Etat au Tourisme français, sans plus de réussite.
Nous allons profiter du prochain Top Résa pour remettre encore la pression à nos amis algériens. Il s'agit pour nous d'une question de principe.
Et si nous avons un conseil à vous donner, évitez par dessus tout de faire du business avec l'Office du Tourisme d'Algérie.
Elle cherche a promouvoir le tourisme en Algérie avec des campagnes de communication qu'elle ne règle pas à la presse professionnelle française.
La destination "balade" depuis 3 ans les petits créanciers français avec des promesses fallacieuses de règlement.
Cette année encore, c'était promis, juré, craché :on allait régler avant le MAP. On a même reçu (elles datent de novembre 2011) les demandes d'ordre de virement en bonne forme... mais l'argent lui est toujours coincé quelque part, dans les méandres de l'administration algérienne.
Peut-on espérer qu'à la veille de la célébration des accords d'Evian, l'état algérien en profite pour régler aussi ses dettes aux créanciers français ?
Rien n'est moins sûr. Mais nous nous sommes promis d'évoquer et de remettre l'affaire sur le tapis jusqu'à ce cette créanjce soit réglée.
Nous avons déjà fait un courrier à l'Ambassadeur à Paris (sans résultat), écrit au Secrétaire d'Etat au Tourisme français, sans plus de réussite.
Nous allons profiter du prochain Top Résa pour remettre encore la pression à nos amis algériens. Il s'agit pour nous d'une question de principe.
Et si nous avons un conseil à vous donner, évitez par dessus tout de faire du business avec l'Office du Tourisme d'Algérie.
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source: TourMag
