La consultation nationale du tourisme intervient à un moment où le secteur touristique tunisien est plus que jamais appelé à se redéployer autour d'une nouvelle dynamique, lui permettant ainsi de réaliser les objectifs qui lui sont assignés au cours du prochain quinquennat et de continuer à apporter la contribution qui lui est demandée dans l'œuvre de développement global du pays.
Ordonnée par le Président de la république, Cette consultation reflète le souci du Chef de l'Etat d'associer toutes les parties concernées à la promotion du secteur touristique.
En effet,  un pannel de ministres et de hauts responsables du gouvernement ont été au rendez-vous ce samedi 9 octobre à l’hôtel Regency qui a accueilli cet événement; à savoir Mohamed Ghannouchi, le Premier ministre, Slim Tlatli, ministre du Tourisme, Abderrahim Zouari, ministre du Transport , Abderraouf El Basti, ministre de la Culture et de la Sauvegarde du Patrimoine, Mohamed Ridha Chalghoum, ministre des Finances et Moncef Chouchane, secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Intérieur et du Développement local chargé des Affaires régionales et des Collectivités locales.
Mohamed Ghannouchi, a été le premier à parler pour annoncer les problématiques du tourisme tunisien et du positionnement de la destination par rapport à ses concurrents directs.
Le tourisme Tunisien est aujourd’hui dans une phase où tous les opérateurs du secteur doivent « mettre la main dans la main » pour participer à atteindre les objectifs de la stratégie à l’horizon de 2016 . Malheureusement, nombreux d’entre eux ont brillé par leur absence. La consultation n’a pas attiré les pionniers du tourisme, notamment les « vieux routiers » les plus grands d’entre les professionnels qui ne se sont pas déplacés pour l’occasion. Faut-il y déceler un message ? Leur absence dirait-il plus que leur présence ? On attendait d’eux qu’ils s’expriment, soutiennent des efforts de construction et participent à évaluer les propositions pour faire évoluer le secteur.
Par leur absence, ces hôteliers, ces agents de voyages, ces décideurs ont montré leur indifférence vis-à -vis d’un secteur clé de l’économie nationale. Un secteur où ils opèrent et prospèrent. Cette consultation devrait interpeller l'ensemble des opérateurs pour une réflexion de fond et l’élaboration d’une stratégie efficace. Dans un moment crucial où la conjoncture peut s’avérer difficile avec des répercussions néfastes pour tout l’ensemble de la destination.
Certains hôteliers ont fait la sourde oreille à ce rendez-vous crucial et déterminant pour l’avenir de notre tourisme. Leur enthousiasme a cédé la place à un désintéressement total. Est-il possible que leurs affaires marchent à merveille ? Très peu probable….Dans les couloirs le jour de la consultation, de nombreux points de vue ont montré un intérêt très marqué pour le processus en cours. Un enthousiasme fort pour les mesures proposées et de grandes attentes. Ceux-la même ont regretté la présence des absents.
Alors que veulent ces « vieux » de notre tourisme?
 Dans sa feuille de route, dévoilée lors de cette consultation, Slim Tlatli ministre du tourisme a présenté clairement sa stratégie touristique à long terme. Toutes ces ambitions ne peuvent, toutefois, être traduites en actes que si tous les intervenants dans le tourisme y adhérent. L’urgence aujourd'hui, est de redéfinir l'architecture globale de toutes les entités qui interviennent dans le domaine tout en définissant avec précision les missions et les responsabilités de chacune d'elles.
C'est là une condition sine qua non, à ses yeux, pour relever le challenge de 10 millions de touristes d'ici à 2016. Il faut dire que les absents ont toujours tort. Le secteur privé est appelé à investir et à aider l’Etat dans la gestion, le maintien et le fonctionnement de notre tourisme. Ce partenariat privé-public est indispensable pour la réussite du nouveau modèle de développement touristique et suppose une présence de ces pionniers du tourisme qui auraient pu donner un peu de leur temps à cette nouvelle vision du tourisme tunisien.
Ordonnée par le Président de la république, Cette consultation reflète le souci du Chef de l'Etat d'associer toutes les parties concernées à la promotion du secteur touristique.
En effet,  un pannel de ministres et de hauts responsables du gouvernement ont été au rendez-vous ce samedi 9 octobre à l’hôtel Regency qui a accueilli cet événement; à savoir Mohamed Ghannouchi, le Premier ministre, Slim Tlatli, ministre du Tourisme, Abderrahim Zouari, ministre du Transport , Abderraouf El Basti, ministre de la Culture et de la Sauvegarde du Patrimoine, Mohamed Ridha Chalghoum, ministre des Finances et Moncef Chouchane, secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Intérieur et du Développement local chargé des Affaires régionales et des Collectivités locales.
Mohamed Ghannouchi, a été le premier à parler pour annoncer les problématiques du tourisme tunisien et du positionnement de la destination par rapport à ses concurrents directs.
Le tourisme Tunisien est aujourd’hui dans une phase où tous les opérateurs du secteur doivent « mettre la main dans la main » pour participer à atteindre les objectifs de la stratégie à l’horizon de 2016 . Malheureusement, nombreux d’entre eux ont brillé par leur absence. La consultation n’a pas attiré les pionniers du tourisme, notamment les « vieux routiers » les plus grands d’entre les professionnels qui ne se sont pas déplacés pour l’occasion. Faut-il y déceler un message ? Leur absence dirait-il plus que leur présence ? On attendait d’eux qu’ils s’expriment, soutiennent des efforts de construction et participent à évaluer les propositions pour faire évoluer le secteur.
Par leur absence, ces hôteliers, ces agents de voyages, ces décideurs ont montré leur indifférence vis-à -vis d’un secteur clé de l’économie nationale. Un secteur où ils opèrent et prospèrent. Cette consultation devrait interpeller l'ensemble des opérateurs pour une réflexion de fond et l’élaboration d’une stratégie efficace. Dans un moment crucial où la conjoncture peut s’avérer difficile avec des répercussions néfastes pour tout l’ensemble de la destination.
Certains hôteliers ont fait la sourde oreille à ce rendez-vous crucial et déterminant pour l’avenir de notre tourisme. Leur enthousiasme a cédé la place à un désintéressement total. Est-il possible que leurs affaires marchent à merveille ? Très peu probable….Dans les couloirs le jour de la consultation, de nombreux points de vue ont montré un intérêt très marqué pour le processus en cours. Un enthousiasme fort pour les mesures proposées et de grandes attentes. Ceux-la même ont regretté la présence des absents.
Alors que veulent ces « vieux » de notre tourisme?
 Dans sa feuille de route, dévoilée lors de cette consultation, Slim Tlatli ministre du tourisme a présenté clairement sa stratégie touristique à long terme. Toutes ces ambitions ne peuvent, toutefois, être traduites en actes que si tous les intervenants dans le tourisme y adhérent. L’urgence aujourd'hui, est de redéfinir l'architecture globale de toutes les entités qui interviennent dans le domaine tout en définissant avec précision les missions et les responsabilités de chacune d'elles.
C'est là une condition sine qua non, à ses yeux, pour relever le challenge de 10 millions de touristes d'ici à 2016. Il faut dire que les absents ont toujours tort. Le secteur privé est appelé à investir et à aider l’Etat dans la gestion, le maintien et le fonctionnement de notre tourisme. Ce partenariat privé-public est indispensable pour la réussite du nouveau modèle de développement touristique et suppose une présence de ces pionniers du tourisme qui auraient pu donner un peu de leur temps à cette nouvelle vision du tourisme tunisien.