Alors que des émeutes nocturnes ont frappé certains zones de La Réunion, mercredi 21 et jeudi 22 février 2012, l'IRT tient à rassurer les professionnels sur la situation de l'île.
"Il n'y a pas de psychose à avoir, la Réunion n'est pas à feu et à sang", martèle Pascal Viroleau, directeur de l'Ile de la Réunion Tourisme (IRT).
Mercredi 21 et jeudi 22 février 2012, les manifestations contre la vie chère, dues en grande partie à la forte hausse des prix du carburant , ont tourné à l'émeute dans le quartier du Chaudron à Saint-Denis, mais aussi dans les communes du Port et de Saint-Benoit. (Saint Denis de la Réunion : ça chauffe au Chaudron ! )
Des zones très localisées et peu touristiques, qui font beaucoup de bruit dans les médias et "risquent de faire du mal à l'image de La Réunion, alors que le tourisme n'est pas du tout touché", précise Pascal Viroleau.
"D'ailleurs nous avons adressé un courrier à nos partenaires : TO, agences de voyages et réceptifs afin de les rassurer sur la situation et leur rappeler qu'il n'y a pas de raisons de s'affoler".
De son côté, les élus ont lancé un appel au calme, "dans l'intérêt de tous", poursuit Pascal Viroleau. "On voit ce qu'il se passe en Grèce et nous souhaitons que le mouvement ne s'étende pas".
Mercredi 21 et jeudi 22 février 2012, les manifestations contre la vie chère, dues en grande partie à la forte hausse des prix du carburant , ont tourné à l'émeute dans le quartier du Chaudron à Saint-Denis, mais aussi dans les communes du Port et de Saint-Benoit. (Saint Denis de la Réunion : ça chauffe au Chaudron ! )
Des zones très localisées et peu touristiques, qui font beaucoup de bruit dans les médias et "risquent de faire du mal à l'image de La Réunion, alors que le tourisme n'est pas du tout touché", précise Pascal Viroleau.
"D'ailleurs nous avons adressé un courrier à nos partenaires : TO, agences de voyages et réceptifs afin de les rassurer sur la situation et leur rappeler qu'il n'y a pas de raisons de s'affoler".
De son côté, les élus ont lancé un appel au calme, "dans l'intérêt de tous", poursuit Pascal Viroleau. "On voit ce qu'il se passe en Grèce et nous souhaitons que le mouvement ne s'étende pas".
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source: TourMag