Le ministère du tourisme vient d’engager une lutte sans merci contre les intrus dans le secteur de la thalassothérapie. Des contrôleurs mobilisés par le ministère de la santé publique sillonneront les divers centres de la thalasso pour s’assurer de la conformité des soins fournis avec les strictes normes en vigueur en la matière. Cette croisade contre les pseudo-promoteurs qui s’improvisent prestataires de soins de thalasso en installant des hammams à proximité des hôtels s’inscrit dans le cadre d’une nouvelle stratégie de développement du créneau de la thalassothérapie.
Cette nouvelle stratégie prévoit en outre, selon le ministère du tourisme, la formation du personnel exerçant dans les centres grâce à la multiplication des stages en France dans le cadre d’une convention liant la France et la Tunisie, respectivement première et deuxième destination mondiale de thalassothérapie. « Le secteur s’est développé d’une manière un peu anarchique. Il est désormais grand temps d’y mettre de l’ordre », ont notamment précisé MM. Mondher Zenaidi et Slim Tlatli, respectivement ministres de la Santé publique et Tourisme, lors d’une récente séance de travail commune consacré au secteur.
La stratégie arrêtée prévoit aussi la formation continue des contrôleurs de la qualité et l’amélioration de la commercialisation de ce produit de niche jusqu’ici considéré comme un produit d’appoint au tourisme balnéaire sur Internet. Dans ce cadre, les professionnels seront appelés à créer leurs propres sites Web marchand et à fédérer leurs efforts de communication.
A noter que la Tunisie compte actuellement 50 centres de thalassothérapie ayant pignon sur rue qui ont accueilli en 2009 quelque 200.000 curistes, essentiellement des Suisses et des Français.
Cette nouvelle stratégie prévoit en outre, selon le ministère du tourisme, la formation du personnel exerçant dans les centres grâce à la multiplication des stages en France dans le cadre d’une convention liant la France et la Tunisie, respectivement première et deuxième destination mondiale de thalassothérapie. « Le secteur s’est développé d’une manière un peu anarchique. Il est désormais grand temps d’y mettre de l’ordre », ont notamment précisé MM. Mondher Zenaidi et Slim Tlatli, respectivement ministres de la Santé publique et Tourisme, lors d’une récente séance de travail commune consacré au secteur.
La stratégie arrêtée prévoit aussi la formation continue des contrôleurs de la qualité et l’amélioration de la commercialisation de ce produit de niche jusqu’ici considéré comme un produit d’appoint au tourisme balnéaire sur Internet. Dans ce cadre, les professionnels seront appelés à créer leurs propres sites Web marchand et à fédérer leurs efforts de communication.
A noter que la Tunisie compte actuellement 50 centres de thalassothérapie ayant pignon sur rue qui ont accueilli en 2009 quelque 200.000 curistes, essentiellement des Suisses et des Français.