Sans en revenir à qui fait quoi et qui va où au sein du gouvernement actuel, sans rentrer dans les détails sur la notion de «diplomatie populaire» comme la nomme Rached Ghannouchi, sans polémiquer sur la désignation par le chef du gouvernement des participants au Forum Economique de Davos ni de la facture à payer, il convient d’attirer l’attention sur le fait que la Tunisie ne peut se permettre de rater un tel rendez-vous au risque de paraitre un pays en déroute.
source: Mille et Une Tunisie