En cessation de paiement depuis jeudi dernier, Runaworld espère obtenir l’autorisation du Tribunal de Commerce de Créteil de continuer son activité d’émetteur de billetterie aérienne. Des négociations sont en cours pour un éventuel rachat de l’entreprise.
L’agence Runaworld qui a développé un outil informatique spécifique de réservation de l’aérien au service des agences non agréées IATA, traverse des moments difficiles.
Christian Coulaud, son manager, a déposé une déclaration de cessation de paiement au tribunal de commerce de Créteil le 19 janvier dernier.
L’échéance du BSP du 15 janvier d’un montant de 1,4 million d’euros n’a pas été honorée.
Avec les émissions courant sur la première quinzaine de janvier, la somme due aux compagnies aériennes atteindra les deux millions.
La compagnie la plus impactée est logiquement Air France pour 600 000 euros, le reste étant réparti pour de beaucoup plus petites sommes sur 90 compagnies.
Le Tribunal de Créteil statuera ce mercredi 25 sur une éventuelle continuation de l’activité, sachant que l’entreprise dispose d’une trésorerie de 1 million d’euros à laquelle il faut ajouter 700 000 euros de paiements à venir de ses clients.
Christian Coulaud, son manager, a déposé une déclaration de cessation de paiement au tribunal de commerce de Créteil le 19 janvier dernier.
L’échéance du BSP du 15 janvier d’un montant de 1,4 million d’euros n’a pas été honorée.
Avec les émissions courant sur la première quinzaine de janvier, la somme due aux compagnies aériennes atteindra les deux millions.
La compagnie la plus impactée est logiquement Air France pour 600 000 euros, le reste étant réparti pour de beaucoup plus petites sommes sur 90 compagnies.
Le Tribunal de Créteil statuera ce mercredi 25 sur une éventuelle continuation de l’activité, sachant que l’entreprise dispose d’une trésorerie de 1 million d’euros à laquelle il faut ajouter 700 000 euros de paiements à venir de ses clients.
Projet de reprise par deux repreneurs potentiels
Des clients pour lesquels d’autres agences émettrices assurent le relais.
Ceci en attendant la décision du tribunal de commerce et, en cas de continuation, la renégociation compagnie par compagnie d’un nouvel accord d’émission pour Runaworld, accompagnée d’un échéancier de paiement.
« Notre challenge au fil de ces derniers jours a été de garder la confiance des clients et celle des fournisseurs », reconnaît Christian Coulaud qui compte sur l’appui de ses cinq collaborateurs pour l’aider dans cette tâche ardue.
A noter que Runaworld ne compte plus au nombre de ses clients les agences du Cediv depuis plusieurs mois. Une décision prise d'un commun accord.
Mais le spécialiste de la billetterie pourrait, si le tribunal lui permet de continuer, faire rentrer un client de premier ordre en avril prochain…
Dans le dossier présenté au tribunal, Christian Coulaud met en avant le projet de reprise de l’entreprise par deux repreneurs potentiels avec lesquels il est en contact depuis plusieurs mois.
Et le redressement progressif de la situation financière de l’entreprise après le défaut de paiement de Nosylis qui l’avait particulièrement impacté.
Et puis, présenter une alternative au mastondonte qu'est devenu Go Voyages marié à eDreams et Opodo, est un argument et un atout dont Christian Coulaud compte se servir jusqu'au bout.
Ceci en attendant la décision du tribunal de commerce et, en cas de continuation, la renégociation compagnie par compagnie d’un nouvel accord d’émission pour Runaworld, accompagnée d’un échéancier de paiement.
« Notre challenge au fil de ces derniers jours a été de garder la confiance des clients et celle des fournisseurs », reconnaît Christian Coulaud qui compte sur l’appui de ses cinq collaborateurs pour l’aider dans cette tâche ardue.
A noter que Runaworld ne compte plus au nombre de ses clients les agences du Cediv depuis plusieurs mois. Une décision prise d'un commun accord.
Mais le spécialiste de la billetterie pourrait, si le tribunal lui permet de continuer, faire rentrer un client de premier ordre en avril prochain…
Dans le dossier présenté au tribunal, Christian Coulaud met en avant le projet de reprise de l’entreprise par deux repreneurs potentiels avec lesquels il est en contact depuis plusieurs mois.
Et le redressement progressif de la situation financière de l’entreprise après le défaut de paiement de Nosylis qui l’avait particulièrement impacté.
Et puis, présenter une alternative au mastondonte qu'est devenu Go Voyages marié à eDreams et Opodo, est un argument et un atout dont Christian Coulaud compte se servir jusqu'au bout.
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source: TourMag