La visite de M. Slim Tlatli, ministre du tourisme à Nabeul-Hammamet, semble avoir été une aubaine pour les professionnels du secteur. A cet effet, ils ont exposé leurs préoccupations mais ils ont également formulé des propositions à même d’impulser une nouvelle dynamique au secteur. Et ce, dans le but d’en garantir la pérennité et d'en améliorer le rendement.
Lors de cette réunion, les hôteliers ont, en effet, mis le doigt sur les difficultés persistantes du secteur qui souffre encore de la saisonnalité de l’activité ainsi que de la prédominance de l’offre balnéaire. A ce titre, ils ont appelé à impliquer tous les intervenants du secteur à la promotion. Chose qui est d’ailleurs censée se faire depuis un certain temps afin d’épauler d’une part l’effort de l’administration et de responsabiliser les professionnels eux-mêmes d’une autre part.
Partant, l’amélioration du rendement du secteur demeure tributaire de la généralisation des nouvelles technologies d’information et de communication. Chose qui permet de sortir de l’emprise des TO qui dictent encore leur loi. Selon les professionnels de la région, le tourisme tunisien est appelé à s’adapter aux grandes mutations, et par conséquent, à améliorer sa stratégie de commercialisation et à prendre en considération l'émergence de nouvelles destinations touristiques concurrentes dans la région. Il va sans dire que de nouvelles techniques de commercialisation s’imposent, nouvelles exigences du touriste du 21ème siècle obligent.
D’autres hôteliers et agents de voyages ont suggéré la création d’une taxe d’entrée à l’image de ce qui se passe chez nos concurrents. Ce qui permettrait sans doute d’alimenter davantage le fond de promotion. Cela étant, il importe de faire preuve d’imagination dans la commercialisation de nos produits, comme l’a mentionné un agent de voyage. Et de citer l’exemple de l’enfant gratuit en vue de mieux vendre le produit famille.
Pour sa part, Slim Tlatli, le ministre du tourisme, a mis en exergue l’importance du rôle du tourisme dans l’économie nationale, tant sur le plan emploi qu’en termes d’entrées en devises. Ce qui représente un défi de taille notamment par ces temps de chamboulement du paysage touristique : « nous n’avons pas de choix si nous voulons avancer et améliorer nos entrées », a souligné le ministre. Et de mettre l’accent également sur les nouvelles exigences du touriste, les nouveaux circuits de distribution, l’internet, le last minute et le low cost qui ne cessent de gagner du terrain. Il a ainsi appelé les professionnels à maîtriser ces circuits de vente à travers la toile ainsi que la qualité du produit dans l’objectif de parer à la concurrence féroce et agressive des autres pays du bassin méditerranéen. A ce juste titre, de nouvelles formes sont à développer comme les gîtes ruraux et les maisons d’hôtes. Et c’est justement à ce niveau là qu’il faudrait être créatifs et innovants pour se démarquer des autres destinations.
A cette occasion, le ministre a annoncé également la réunion du comité stratégique de l’étude de développement du tourisme tunisien à l’horizon 2016, la révision du dossier de l’animation, la multiplication du budget de promotion par deux voire trois, la création d’une société de maintenance et d’animation à Yasmine Hammamet, l’ouverture du ciel avant 2011 et le développement des pôles golfiques. En somme, il s’agit d’un ensemble de mesures qui renforceront la compétitivité du tourisme tunisien au regard des profondes mutations du paysage touristique mondial.
Lors de cette réunion, les hôteliers ont, en effet, mis le doigt sur les difficultés persistantes du secteur qui souffre encore de la saisonnalité de l’activité ainsi que de la prédominance de l’offre balnéaire. A ce titre, ils ont appelé à impliquer tous les intervenants du secteur à la promotion. Chose qui est d’ailleurs censée se faire depuis un certain temps afin d’épauler d’une part l’effort de l’administration et de responsabiliser les professionnels eux-mêmes d’une autre part.
Partant, l’amélioration du rendement du secteur demeure tributaire de la généralisation des nouvelles technologies d’information et de communication. Chose qui permet de sortir de l’emprise des TO qui dictent encore leur loi. Selon les professionnels de la région, le tourisme tunisien est appelé à s’adapter aux grandes mutations, et par conséquent, à améliorer sa stratégie de commercialisation et à prendre en considération l'émergence de nouvelles destinations touristiques concurrentes dans la région. Il va sans dire que de nouvelles techniques de commercialisation s’imposent, nouvelles exigences du touriste du 21ème siècle obligent.
D’autres hôteliers et agents de voyages ont suggéré la création d’une taxe d’entrée à l’image de ce qui se passe chez nos concurrents. Ce qui permettrait sans doute d’alimenter davantage le fond de promotion. Cela étant, il importe de faire preuve d’imagination dans la commercialisation de nos produits, comme l’a mentionné un agent de voyage. Et de citer l’exemple de l’enfant gratuit en vue de mieux vendre le produit famille.
Pour sa part, Slim Tlatli, le ministre du tourisme, a mis en exergue l’importance du rôle du tourisme dans l’économie nationale, tant sur le plan emploi qu’en termes d’entrées en devises. Ce qui représente un défi de taille notamment par ces temps de chamboulement du paysage touristique : « nous n’avons pas de choix si nous voulons avancer et améliorer nos entrées », a souligné le ministre. Et de mettre l’accent également sur les nouvelles exigences du touriste, les nouveaux circuits de distribution, l’internet, le last minute et le low cost qui ne cessent de gagner du terrain. Il a ainsi appelé les professionnels à maîtriser ces circuits de vente à travers la toile ainsi que la qualité du produit dans l’objectif de parer à la concurrence féroce et agressive des autres pays du bassin méditerranéen. A ce juste titre, de nouvelles formes sont à développer comme les gîtes ruraux et les maisons d’hôtes. Et c’est justement à ce niveau là qu’il faudrait être créatifs et innovants pour se démarquer des autres destinations.
A cette occasion, le ministre a annoncé également la réunion du comité stratégique de l’étude de développement du tourisme tunisien à l’horizon 2016, la révision du dossier de l’animation, la multiplication du budget de promotion par deux voire trois, la création d’une société de maintenance et d’animation à Yasmine Hammamet, l’ouverture du ciel avant 2011 et le développement des pôles golfiques. En somme, il s’agit d’un ensemble de mesures qui renforceront la compétitivité du tourisme tunisien au regard des profondes mutations du paysage touristique mondial.
                                                                             M.A