RAM-Express veut démocratiser le transport régional
Dans un contexte de crise économique mondiale, également marqué par des mouvements sociaux au sein du personnel navigant, Royal Air Maroc (RAM) a réalisé en 2009 un chiffre d’affaires de 11,7 milliards de dirhams (environ 1 md€), en baisse de 4,2% par rapport à 2008.
L’objectif est de multiplier les fréquences et de lancer des vols sur des dessertes qui n’étaient pas reliées en aérien. C’est le cas d’Errachidia, d’Al Hoceima, de Nador, de Guelmim et de Tan Tan.
L’objectif est de multiplier les fréquences et de lancer des vols sur des dessertes qui n’étaient pas reliées en aérien. C’est le cas d’Errachidia, d’Al Hoceima, de Nador, de Guelmim et de Tan Tan.
En 2009, la compagnie aérienne nationale marocaine a transporté 5,9 millions de passagers, en recul de 3,4%.
Le coefficient de remplissage s’est stabilisé à 66%. L’année 2009 c’est également, pour la RAM, la sortie d’Air Sénégal International après de longs mois de relations chaotiques.
Poursuivant néanmoins son développement, la RAM a fait l’acquisition de 10 avions, dont deux appareils long-courriers.
Elle a surtout créé en 2009 une compagnie filiale spécialisée dans le transport domestique et régional, RAM-Express, dans le cadre d’un accord avec l’Etat marocain.
Celui-ci prend en charge 25% de l’investissement requis pour la nouvelle flotte, pour un montant de 300 millions de dirhams. RAM-Express, qui dispose actuellement de quatre avions de type ATR72-200, devrait voir sa flotte se renforcer pour atteindre 6 ou 8 avions neufs à terme.
Renforcer les dessertes régionales déjà existantes
« RAM-Express est le fruit d’une volonté du gouvernement et de la compagnie nationale de démocratiser le transport aérien et de désenclaver les différentes régions du royaume », a indiqué le directeur général adjoint de la RAM, Abderrafie Zouiten.
L’objectif est de multiplier les fréquences et de lancer des vols sur des dessertes qui n’étaient pas reliées en aérien. C’est le cas d’Errachidia, d’Al Hoceima, de Nador, de Guelmim et de Tan Tan.
Il s’agit également de renforcer les dessertes déjà existantes, le cas pour Casablanca-Laayoune, dont le nombre des vols sera porté à deux vols par jour, et Casablanca-Dakhla, avec cinq fréquences par semaine en Boeing.
30 à 50% de la capacité de RAM-Express sera commercialisée à un tarif maximal de 1 000 dirhams TTC aller-retour.
Une autre nouveauté de la nouvelle low cost marocaine est la grille de tarif aller-simple des dessertes, Casablanca-Essaouira, Casablanca-Errachidia, Casablanca-Ouarzazate et Casablanca-Dakhla, qui vont être commercialisées à partir de 350 dirhams TTC, ajouté M. Zouiten.
Depuis le début des vols de la nouvelle compagnie durant l’été 2009, les chiffres officiels font état d’une hausse de 76% du trafic aérien domestique sur la région de l’Oriental et une progression de 43% de ce trafic vers Laayoune.
L’objectif est de multiplier les fréquences et de lancer des vols sur des dessertes qui n’étaient pas reliées en aérien. C’est le cas d’Errachidia, d’Al Hoceima, de Nador, de Guelmim et de Tan Tan.
L’objectif est de multiplier les fréquences et de lancer des vols sur des dessertes qui n’étaient pas reliées en aérien. C’est le cas d’Errachidia, d’Al Hoceima, de Nador, de Guelmim et de Tan Tan.
En 2009, la compagnie aérienne nationale marocaine a transporté 5,9 millions de passagers, en recul de 3,4%.
Le coefficient de remplissage s’est stabilisé à 66%. L’année 2009 c’est également, pour la RAM, la sortie d’Air Sénégal International après de longs mois de relations chaotiques.
Poursuivant néanmoins son développement, la RAM a fait l’acquisition de 10 avions, dont deux appareils long-courriers.
Elle a surtout créé en 2009 une compagnie filiale spécialisée dans le transport domestique et régional, RAM-Express, dans le cadre d’un accord avec l’Etat marocain.
Celui-ci prend en charge 25% de l’investissement requis pour la nouvelle flotte, pour un montant de 300 millions de dirhams. RAM-Express, qui dispose actuellement de quatre avions de type ATR72-200, devrait voir sa flotte se renforcer pour atteindre 6 ou 8 avions neufs à terme.
Renforcer les dessertes régionales déjà existantes
« RAM-Express est le fruit d’une volonté du gouvernement et de la compagnie nationale de démocratiser le transport aérien et de désenclaver les différentes régions du royaume », a indiqué le directeur général adjoint de la RAM, Abderrafie Zouiten.
L’objectif est de multiplier les fréquences et de lancer des vols sur des dessertes qui n’étaient pas reliées en aérien. C’est le cas d’Errachidia, d’Al Hoceima, de Nador, de Guelmim et de Tan Tan.
Il s’agit également de renforcer les dessertes déjà existantes, le cas pour Casablanca-Laayoune, dont le nombre des vols sera porté à deux vols par jour, et Casablanca-Dakhla, avec cinq fréquences par semaine en Boeing.
30 à 50% de la capacité de RAM-Express sera commercialisée à un tarif maximal de 1 000 dirhams TTC aller-retour.
Une autre nouveauté de la nouvelle low cost marocaine est la grille de tarif aller-simple des dessertes, Casablanca-Essaouira, Casablanca-Errachidia, Casablanca-Ouarzazate et Casablanca-Dakhla, qui vont être commercialisées à partir de 350 dirhams TTC, ajouté M. Zouiten.
Depuis le début des vols de la nouvelle compagnie durant l’été 2009, les chiffres officiels font état d’une hausse de 76% du trafic aérien domestique sur la région de l’Oriental et une progression de 43% de ce trafic vers Laayoune.
En syndication avec tourmag.com