C’est désormais un fait établi. Le petit pèlerinage du Mouled (célébration de l’anniversaire de la naissance du prophète prévu le vendredi 26 février) n’aura pas lieu malgré l’autorisation officielle de ce rite après plusieurs mois d’interdiction pour cause de la pandémie de la grippe porcine. A en croire des sources dignes de foi au sein de la Fédération Tunisienne des Agences de Voyages (FTAV), la Omra été annulée en raison d’un retard inexpliqué dans l’ouverture du système de réservation automatique.
Selon ces mêmes sources, ce sont les autorités saoudiennes qui n’auraient pas jusqu’ici ouvert ce système de réservation aux candidats tunisiens. « La confusion est totale. Aucune partie impliquée dans l’organisation du petit pèlerinage des lieux saints n’a daigné nous expliquer les raisons de ce retard. Le citoyen croit à tort que c’est la partie tunisienne qui en est responsable. D’où la nécessité de lever le voile sur cette affaire », ajoutent nos sources.
A noter que la haute commission du pèlerinage relevant ministre des Affaires religieuses avait autorisé, il y a plus d’un mois et demi, la «Omra» en la conditionnant, toutefois, par la vaccination contre la grippe A H1N1 avant au moins deux semaines de leur départ à destination des lieux saints. Une condition qui ne posé aucun problème pour les nombreux candidats.
Pour l’heure, tous les candidats peuvent récupérer leurs passeports et leurs avances versées aux agences de voyages, qui se trouvent, encore une fois, fragilisées. L’annulation de la Mora du Mouled engendre, selon la FTAV, un manque à gagner pour toutes les agences de voyages et particulièrement pour celles qui sont exclusivement positionnés sur le segment de la Omra et des pèlerinage. Ce manque à gagner s’élève à plu d’un million de dinars.
Rappelons que l’interdiction par de la «Omra» et du pèlerinage depuis le déclenchement de la pandémie de la grippe porcine a coûté plus de 10 millions de dinars de manque à gagner pour Tunisair et plus de 4 millions de dinars de pertes pour les agences de voyages.
Selon ces mêmes sources, ce sont les autorités saoudiennes qui n’auraient pas jusqu’ici ouvert ce système de réservation aux candidats tunisiens. « La confusion est totale. Aucune partie impliquée dans l’organisation du petit pèlerinage des lieux saints n’a daigné nous expliquer les raisons de ce retard. Le citoyen croit à tort que c’est la partie tunisienne qui en est responsable. D’où la nécessité de lever le voile sur cette affaire », ajoutent nos sources.
A noter que la haute commission du pèlerinage relevant ministre des Affaires religieuses avait autorisé, il y a plus d’un mois et demi, la «Omra» en la conditionnant, toutefois, par la vaccination contre la grippe A H1N1 avant au moins deux semaines de leur départ à destination des lieux saints. Une condition qui ne posé aucun problème pour les nombreux candidats.
Pour l’heure, tous les candidats peuvent récupérer leurs passeports et leurs avances versées aux agences de voyages, qui se trouvent, encore une fois, fragilisées. L’annulation de la Mora du Mouled engendre, selon la FTAV, un manque à gagner pour toutes les agences de voyages et particulièrement pour celles qui sont exclusivement positionnés sur le segment de la Omra et des pèlerinage. Ce manque à gagner s’élève à plu d’un million de dinars.
Rappelons que l’interdiction par de la «Omra» et du pèlerinage depuis le déclenchement de la pandémie de la grippe porcine a coûté plus de 10 millions de dinars de manque à gagner pour Tunisair et plus de 4 millions de dinars de pertes pour les agences de voyages.