Quelques semaines seulement après sa nomination, M. Slim Tlatli vient d’entrer dans le vif du sujet. Connu sous le sobriquet « Monsieur mise à niveau », le ministre du Tourisme a tenu vendredi dernier une séance de travail avec les membres du bureau exécutif de la fédération tunisienne de l'hôtellerie (FTH). A l’ordre du jour, l’examen de l’évolution de la conjoncture touristique, les perspectives de développement du secteur à la lumière des profondes mutations qui marquent les différents marchés.
A cette occasion, le ministre a souligné la nécessité de favoriser l'émergence d'un partenariat qui privilégie une concertation permanente entre l'administration et les organisations professionnelles afin de renforcer la capacité des opérateurs du tourisme tunisien à relever les défis de la prochaine étape. «Nous devons être en veille permanente et affiner constamment l'analyse des marchés émetteurs afin d'apporter les réponses les plus appropriées aux mutations et aux attentes de ces marchés tant au niveau de la promotion qu'à celui de la commercialisation de l'offre touristique tunisienne », a déclaré en substance M. Tlatli.
Le ministre a également indiqué que la participation tunisienne aux différentes salons internationaux, insistant sur le fait que celle-ci se doit d'être revue tant au niveau de sa préparation qu'à celui de son évaluation. «Les initiatives des structures professionnelles régionales bénéficieront de l'appui et du soutien de l'administration », a-t-il insisté dans ce registre
De son côté, M. Mohamed Belaâjouza, président du conseil de la FTH a exprimé la volonté et l'engagement de la profession à servir au mieux les intérêts du secteur et à faire du partenariat avec l'administration un axe essentiel qui guidera son action, tout en faisant remarquer que la fédération tient à être constamment associée et d'une manière effective aux grandes décisions qui engagent l'avenir du tourisme tunisien.
Selon des sources dignes de foi, les patrons des hôteliers a=, par ailleurs, évoqué avec le ministre le sujet de l’endettement des unités hôtelières, qui constitue un dossier épineux qui contribue le nivellement vers le bas du secteur. M. Belaâjouza a insisté sur la nécessité de trouver un accord avec les bailleurs de fonds pour en finir avec une dette globale qui s’élève actuellement à 3 mille milliards.
A cette occasion, le ministre a souligné la nécessité de favoriser l'émergence d'un partenariat qui privilégie une concertation permanente entre l'administration et les organisations professionnelles afin de renforcer la capacité des opérateurs du tourisme tunisien à relever les défis de la prochaine étape. «Nous devons être en veille permanente et affiner constamment l'analyse des marchés émetteurs afin d'apporter les réponses les plus appropriées aux mutations et aux attentes de ces marchés tant au niveau de la promotion qu'à celui de la commercialisation de l'offre touristique tunisienne », a déclaré en substance M. Tlatli.
Le ministre a également indiqué que la participation tunisienne aux différentes salons internationaux, insistant sur le fait que celle-ci se doit d'être revue tant au niveau de sa préparation qu'à celui de son évaluation. «Les initiatives des structures professionnelles régionales bénéficieront de l'appui et du soutien de l'administration », a-t-il insisté dans ce registre
De son côté, M. Mohamed Belaâjouza, président du conseil de la FTH a exprimé la volonté et l'engagement de la profession à servir au mieux les intérêts du secteur et à faire du partenariat avec l'administration un axe essentiel qui guidera son action, tout en faisant remarquer que la fédération tient à être constamment associée et d'une manière effective aux grandes décisions qui engagent l'avenir du tourisme tunisien.
Selon des sources dignes de foi, les patrons des hôteliers a=, par ailleurs, évoqué avec le ministre le sujet de l’endettement des unités hôtelières, qui constitue un dossier épineux qui contribue le nivellement vers le bas du secteur. M. Belaâjouza a insisté sur la nécessité de trouver un accord avec les bailleurs de fonds pour en finir avec une dette globale qui s’élève actuellement à 3 mille milliards.