Pour sa sixième escale méditerranéenne, l’émission de France 3 « Thalassa » de Georges Pernoud, diffusée, chaque vendredi, à 19h 35, heure de chez-nous, a choisi de faire une expédition sur la destination Tunisie. Mer, terre et ciel, passé et présent, lieux mythiques, zones touristiques, ont été explorés avec ingéniosité et nostalgie.». S'éloignant volontairement des circuits touristiques très connus l’expédition a débuté du coté du Nord Ouest de la Tunisie et, précisément, la frontière algero-tunisienne.
 A Tabarka, les explorateurs sont sur Tara, le bateau, en prévenance de Nice. Au programme, trois volets. « Carnet de route », « La Tunisie vue du ciel » et d’autres, aspects, tels « Le trésor de Rommel » et « l’Aventure de Tara ». Le reportage situe cette région dans son contexte géographique et historique. Massifs montagneux, l’embouchure qui commence au pied du Djebel, voici le décor géographique. On précise aussi que des milliers de maltais et hispaniques empruntaient la côte de Tabarka pour effectuer le commerce. Ensuite, cap sur le Rocher de Raf raf qui se situe à la pointe de la Tunisie, où se trouve également le Cap Bon qui a donné son nom à une péninsule de 80 km2. La terre des agriculteurs, puis le Port de Sidi Daoud, où on pratique la pêche ancestrale, ont été ensuite explorés. Tara continue son expédition. C’est l’arraisonnement au Golfe de Gabés. L’équipe effectue une balade dans les oliveraies. C’est la Tunisie du coté sud. Le Golfe de Gabés, dit-on, est un lieu étrange. C’est la mer la plus mouvementée de toute la Méditerranée. Le golfe recèle la plus grande réserve de coquillage au monde. Tara continue son chemin vers Sfax, une autre ville du sud tunisien de 500 000 habitants. Les explorateurs s’arrêtent à quelques encablures de cette métropole. C’est la plus forte concentration d’usines chimiques de la Tunisie. Le Port de  Sfax assure la liaison avec Kerkennah, une presqu’ile fascinante. L’équipe continue sa traversée vers Djerba, cœur et poumon battant de l’Industrie touristique tunisienne. Une quarantaine d’hôtels sont plantés sur la côte ouest de l’ile. A Djerba la Douce, le reporter s’attarde sur le mélange des cultures et des religions. Il est 17h, Tara arrive au moment où les voiliers accostent. A la nuit tombée les plages se vident. Mais les oiseaux pêcheurs rodent autour des pièges aux poissons. A l’apparition de la lune, les oiseaux ne trouvent aucune peine à repérer les poissons...
 A Tabarka, les explorateurs sont sur Tara, le bateau, en prévenance de Nice. Au programme, trois volets. « Carnet de route », « La Tunisie vue du ciel » et d’autres, aspects, tels « Le trésor de Rommel » et « l’Aventure de Tara ». Le reportage situe cette région dans son contexte géographique et historique. Massifs montagneux, l’embouchure qui commence au pied du Djebel, voici le décor géographique. On précise aussi que des milliers de maltais et hispaniques empruntaient la côte de Tabarka pour effectuer le commerce. Ensuite, cap sur le Rocher de Raf raf qui se situe à la pointe de la Tunisie, où se trouve également le Cap Bon qui a donné son nom à une péninsule de 80 km2. La terre des agriculteurs, puis le Port de Sidi Daoud, où on pratique la pêche ancestrale, ont été ensuite explorés. Tara continue son expédition. C’est l’arraisonnement au Golfe de Gabés. L’équipe effectue une balade dans les oliveraies. C’est la Tunisie du coté sud. Le Golfe de Gabés, dit-on, est un lieu étrange. C’est la mer la plus mouvementée de toute la Méditerranée. Le golfe recèle la plus grande réserve de coquillage au monde. Tara continue son chemin vers Sfax, une autre ville du sud tunisien de 500 000 habitants. Les explorateurs s’arrêtent à quelques encablures de cette métropole. C’est la plus forte concentration d’usines chimiques de la Tunisie. Le Port de  Sfax assure la liaison avec Kerkennah, une presqu’ile fascinante. L’équipe continue sa traversée vers Djerba, cœur et poumon battant de l’Industrie touristique tunisienne. Une quarantaine d’hôtels sont plantés sur la côte ouest de l’ile. A Djerba la Douce, le reporter s’attarde sur le mélange des cultures et des religions. Il est 17h, Tara arrive au moment où les voiliers accostent. A la nuit tombée les plages se vident. Mais les oiseaux pêcheurs rodent autour des pièges aux poissons. A l’apparition de la lune, les oiseaux ne trouvent aucune peine à repérer les poissons...
 Retour sur terre. C’est au Parc d’Ichkeul que l’équipe Thalassa effectue une autre ballade. Un carnet de route. Classée patrimoine mondial de l’Humanité, cette réserve était envahie de l’eau, il y a quelques siècles. Aujourd’hui, il accueille des milliers d’oiseaux migrants et d’animaux mammifères. Une intervention en direct de Bizerte de l’envoyée spéciale de l’émission, indique qu’en raison d’une tempête, Tara devrait rester un jour de plus en Tunisie. Cette dernière fait, en effet, un aperçu sur le Vieux Port de cette ville, ses monuments et ses spécificités culturelles.Â
Passage incontournable, Tunis et Hammamet ont été les étapes suivantes. L’équipe emprunte le train de TGM en direction de la Banlieue nord. A la Goulette, c’est Férid Boughdir qui sert de guide. Il conduit l’équipe de Thalassa, jusqu’à la plage, puis aux restaurants populaires. Chez Mohsen, un restaurateur, l’ambiance rappelle encore la Goulette d’antan. On discute on s’échange des idées en arabe, en français et en italien. Après avoir visité le Fort, la Synagogue et la Goulette, l’équipe se rend à Carthage, où elle sillonne le Musée, l’église, et les nombreux sites archéologiques. Elle y rencontre également Abdelaziz Belkhodza, historien et homme de culture qui parle de son art et fait un perçu sur l’histoire de Carthage, jus qu’à sa destruction. Il explique tout à partir des pierres et des monuments. Sidi Bou Saïd fut la dernière étape de Tunis. Bref, Djerba, Sousse, Hammamet, a chaque destination, l’équipe et le bateau sont accueillis sur un tapis rouge.
A Mahdia, l’équipe de Thalassa arrive à l’heure de prière. « Silence on respecte la voie du Muezzin ». Mais le tournage continue. Guidée par Selma Hafsa, une archéologue, l’équipe se rend au Souk de la capitale des hafsides. Cette ville s’ouvre au tourisme de masse, mais ses habitants sont restés attachés à leurs us et coutumes. Mahdia est, cependant, en pleine mutation. En témoignent d’ailleurs les endroits comme la Place du Caire et les grandes chaines hôtelières….