La compagnie enregistre une augmentation de ses revenus de 12% au 3e trimestre 2011 par rapport à 2010. Par ailleurs, sur la période janvier-septembre 2011, la perte nette du groupe se réduit, passant de -125 millions d'euros en 2010 à -25 millions €.
Alitalia annonce une augmentation des revenus de 12% au 3e trimestre 2011 par rapport à la même période en 2010, avec un résultat net positif de 69 millions € (+ 30ml. € par rapport au même trimestre de 2010), et un résultat d’exploitation (EBIT) en positif de 90 millions € (+ 34 millions €).
Les 9 premiers mois de l’année en cours font apparaitre un résultat d’exploitation positif de 21 millions €, indique la compagnie dans un communiqué.
Au cours du 3e trimestre, le Groupe a transporté 7, 6 millions de passagers, soit une augmentation de 7,3% par rapport à la même période de 2010. Le coefficient d’occupation est égal à 77,5% (+ 1.6%).
Les revenus pour la période, équivalents à 1,080 millions d’€, ont enregistré une croissance de 12% par rapport à 2010.
Le progressif de janvier-septembre met en évidence une diminution de la perte nette de – 25 millions €. (- 125 ml. en 2010) et un résultat d’exploitation positif de 21 millions €, pour la première fois positif sur l’ensemble des 9 mois de l’année en cours.
Les 9 premiers mois de l’année en cours font apparaitre un résultat d’exploitation positif de 21 millions €, indique la compagnie dans un communiqué.
Au cours du 3e trimestre, le Groupe a transporté 7, 6 millions de passagers, soit une augmentation de 7,3% par rapport à la même période de 2010. Le coefficient d’occupation est égal à 77,5% (+ 1.6%).
Les revenus pour la période, équivalents à 1,080 millions d’€, ont enregistré une croissance de 12% par rapport à 2010.
Le progressif de janvier-septembre met en évidence une diminution de la perte nette de – 25 millions €. (- 125 ml. en 2010) et un résultat d’exploitation positif de 21 millions €, pour la première fois positif sur l’ensemble des 9 mois de l’année en cours.
Les perspectives pour le 4e trimestre indiquent un ralentissement brutal de la demande du voyage d’affaires/high yield en raison de l’incertitude de la situation mondiale économique et financière, et de la persistance des niveaux élevés des prix du carburant.
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source: TourMag
