La Tunisie s’emploie depuis quelques années à réduire la prédominance du balnéaire en matière d’offre d’hébergement. Les hôtels de charme, les maisons d’hôtes et les gîtes ruraux essaiment dans les oasis, les grands centres urbains, mais aussi dans les campagnes les plus reculés du pays. On ne compte, aujourd’hui, pas moins d’une vingtaine d’hôtels de charme. Les plus cotés sont Dar Inès à Kélibia, Dar Fatma à Sidi Bou Saïd, Dar Touzriya à Tozeur, Houche Bouricha à Djerba, Dar Saïd à Sidi Bou Saïd et Résidence Sultana à Zarzis.Â
On dénombre également plusieurs centaines de chambres d’hôtes parmi lesquelles figurent notamment Dar Om Elkhir à Nabeul ayant une capacité d’accueil de 6 personnes répartis sur 3 chambres et Dar Nafta (8 personnes et deux chambres) ou encore Dar Fatma, perchée sur la falaise qui domine Carthage et le golfe de Tunis, à Sidi Bou Saïd.
Les gîtes ruraux fonctionnels dont la naissance date seulement de quelques années se comptent, quant à eux, sur les doigts de la main. Ils connaissent, toutefois, un engouement croissant. A titre d’exemple, le gîte «Aïn Essid (la source du lion) à  Béja affiche souvent complet. C’est que cette ancienne résidence construite à l'époque coloniale dans une superbe exploitation agricole à quelques kilomètres de Béja sur la route menant au barrage Kasseb a été réaménagé pour devenir une maison de caractère, comportant plusieurs chambres à coucher, un salon pour une ambiance conviviale, une cuisine centrale pouvant servir jusqu'à 500 personnes, un restaurant de campagne pouvant recevoir jusqu'à une centaine de clients servant une cuisine du terroir.
Depuis plus d’une dizaine d’années, ces trois nouveaux modes d’hébergement qui copient le concept traditionnel anglais «Bed & breakfast» sont devenus des niches porteuses  dans le bassin sud de la Méditerranée. La Grèce, la France, l’Italie, et surtout le Maroc se sont forgé une solide réputation dans ce domaine. La Tunisie a aujourd’hui tout intérêt à développer davantage ce tourisme d’un genre nouveau. D’autant plus que les vacances loin des plages et des palaces au luxe tapageur offrent une forte valeur ajoutée au tourisme tunisien. Une nuitée dans une chambre d’hôte ou un gîte rural se vend en effet entre 70 et 120 euros, soit presque le double de la nuitée dans un hôtel balnéaire. Mais au-delà de l’aspect pécuniaire, il s’agit de répondre à une demande émanant d’une nouvelle race de touristes lassés du béton et du modernisme. Des touristes à la recherche de la détente dans un environnement de verdure, de contacts avec le milieu agricole et rural et des découvertes d’autres modes de vie authentiques.
Avec une histoire trois fois millénaire nourrie par un extraordinaire brassage humain et couplé à  grande diversité de paysages naturels, la Tunisie a tous les moyens pour assurer au visiteur le repos et la tranquillité et lui garantir la découverte et l’émotion. Le pays a, en somme, bien d’autres atouts que le soleil omniprésent et les plages dorées….
On dénombre également plusieurs centaines de chambres d’hôtes parmi lesquelles figurent notamment Dar Om Elkhir à Nabeul ayant une capacité d’accueil de 6 personnes répartis sur 3 chambres et Dar Nafta (8 personnes et deux chambres) ou encore Dar Fatma, perchée sur la falaise qui domine Carthage et le golfe de Tunis, à Sidi Bou Saïd.
Les gîtes ruraux fonctionnels dont la naissance date seulement de quelques années se comptent, quant à eux, sur les doigts de la main. Ils connaissent, toutefois, un engouement croissant. A titre d’exemple, le gîte «Aïn Essid (la source du lion) à  Béja affiche souvent complet. C’est que cette ancienne résidence construite à l'époque coloniale dans une superbe exploitation agricole à quelques kilomètres de Béja sur la route menant au barrage Kasseb a été réaménagé pour devenir une maison de caractère, comportant plusieurs chambres à coucher, un salon pour une ambiance conviviale, une cuisine centrale pouvant servir jusqu'à 500 personnes, un restaurant de campagne pouvant recevoir jusqu'à une centaine de clients servant une cuisine du terroir.
Depuis plus d’une dizaine d’années, ces trois nouveaux modes d’hébergement qui copient le concept traditionnel anglais «Bed & breakfast» sont devenus des niches porteuses  dans le bassin sud de la Méditerranée. La Grèce, la France, l’Italie, et surtout le Maroc se sont forgé une solide réputation dans ce domaine. La Tunisie a aujourd’hui tout intérêt à développer davantage ce tourisme d’un genre nouveau. D’autant plus que les vacances loin des plages et des palaces au luxe tapageur offrent une forte valeur ajoutée au tourisme tunisien. Une nuitée dans une chambre d’hôte ou un gîte rural se vend en effet entre 70 et 120 euros, soit presque le double de la nuitée dans un hôtel balnéaire. Mais au-delà de l’aspect pécuniaire, il s’agit de répondre à une demande émanant d’une nouvelle race de touristes lassés du béton et du modernisme. Des touristes à la recherche de la détente dans un environnement de verdure, de contacts avec le milieu agricole et rural et des découvertes d’autres modes de vie authentiques.
Avec une histoire trois fois millénaire nourrie par un extraordinaire brassage humain et couplé à  grande diversité de paysages naturels, la Tunisie a tous les moyens pour assurer au visiteur le repos et la tranquillité et lui garantir la découverte et l’émotion. Le pays a, en somme, bien d’autres atouts que le soleil omniprésent et les plages dorées….