Le tourisme chypriote a profité du climat politique sud méditerranéen. Ses résultats sont très bons, notamment sur le marché français qui augmente de 30%, et justifient amplement les ambitions nouvelles de l’île.
Cette année 2011 va s’achever en beauté, les autorités touristiques chypriotes en sont persuadées.
Après 8 mois d’activité, ils constatent une fréquentation générale en hausse de 12,2 % et tablent sur 2,4 millions d’arrivées pour la fin 2011, avec un revenu global de 1,8 Md €, soit une contribution de 10% dans le PIB du pays, contre 9% l’an dernier.
Le marché britannique est évidemment le premier artisan de ce succès avec ses 715 000 visiteurs, soit une légère hausse de 2,2%.
Toutefois, soucieux de ne pas dépendre uniquement de la bonne santé économique de l’Angleterre, Chypre s’attache à diversifier son portefeuille de pays émetteurs.
La Russie, par exemple, prend du poids, avec 240 000 visiteurs ; l’Allemagne également, avec une hausse de 15 % entre 2010 et les 8 premiers mois de 2011.
La France est également un motif de réjouissance pour l’île d’Aphrodite, avec une croissance de 30 % et presque 26 000 clients à la fin août.
Après 8 mois d’activité, ils constatent une fréquentation générale en hausse de 12,2 % et tablent sur 2,4 millions d’arrivées pour la fin 2011, avec un revenu global de 1,8 Md €, soit une contribution de 10% dans le PIB du pays, contre 9% l’an dernier.
Le marché britannique est évidemment le premier artisan de ce succès avec ses 715 000 visiteurs, soit une légère hausse de 2,2%.
Toutefois, soucieux de ne pas dépendre uniquement de la bonne santé économique de l’Angleterre, Chypre s’attache à diversifier son portefeuille de pays émetteurs.
La Russie, par exemple, prend du poids, avec 240 000 visiteurs ; l’Allemagne également, avec une hausse de 15 % entre 2010 et les 8 premiers mois de 2011.
La France est également un motif de réjouissance pour l’île d’Aphrodite, avec une croissance de 30 % et presque 26 000 clients à la fin août.
750 000 euros de communication sur le marché français
Pour accompagner ce réveil, la destination va investir plus de 750 000€ en communication touristique : publicité sur internet, voyage de presse, salons, affichage en cobranding avec des tour-opérateurs, formations des vendeurs…
Tout l’attirail des outils de promotion sera employé pour séduire encore davantage nos compatriotes et retrouver une fréquentation comme celle de 2005, où Chypre avait reçu plus de 50 000 Français.
« Les Français sont des clients intéressants », explique Lefkos Phylactides, le directeur général de l’Office du Tourisme chypriote. « Ils dépensent plus que les autres… ».
Une dépense dont l’augmentation est désormais un axe stratégique de la destination, au même titre que l’amélioration conséquente des liaisons aériennes.
Tout l’attirail des outils de promotion sera employé pour séduire encore davantage nos compatriotes et retrouver une fréquentation comme celle de 2005, où Chypre avait reçu plus de 50 000 Français.
« Les Français sont des clients intéressants », explique Lefkos Phylactides, le directeur général de l’Office du Tourisme chypriote. « Ils dépensent plus que les autres… ».
Une dépense dont l’augmentation est désormais un axe stratégique de la destination, au même titre que l’amélioration conséquente des liaisons aériennes.
Dès 2012, vols au départ de Nantes, Lyon et Mulhouse
« En 2012, nous aurons des vols au départ de Nantes, Lyon et Mulhouse », poursuit Lefkos Phylactides.
« D’autres suivront, mais nous voulons surtout attirer des transporteurs qui utiliseraient nos aéroports comme plateformes régionales ».
Un objectif crédible, selon le directeur de l’Office du Tourisme chypriote, car les aéroports de Limassol et de Pafos sont entièrement neufs et, surtout, ils sont idéalement placés pour desservir le Moyen Orient ou l’Europe centrale et l’Europe de l’Est.
Autre axe stratégique de l’île, la qualité de ses produits. « C’est notre objectif principal », affirme Lefkos Philactides, en évoquant les projets de rénovations hôtelières qui vont être financés par un fond public de 13 M€ que des investissements privés pourraient faire grimper jusqu’à 65 M€.
« D’autres suivront, mais nous voulons surtout attirer des transporteurs qui utiliseraient nos aéroports comme plateformes régionales ».
Un objectif crédible, selon le directeur de l’Office du Tourisme chypriote, car les aéroports de Limassol et de Pafos sont entièrement neufs et, surtout, ils sont idéalement placés pour desservir le Moyen Orient ou l’Europe centrale et l’Europe de l’Est.
Autre axe stratégique de l’île, la qualité de ses produits. « C’est notre objectif principal », affirme Lefkos Philactides, en évoquant les projets de rénovations hôtelières qui vont être financés par un fond public de 13 M€ que des investissements privés pourraient faire grimper jusqu’à 65 M€.
Un terminal croisière à Larnaka pour 2015
Au delà des simples travaux de mise à jour, de nombreux développements sont également en chantier. Une nouvelle marina est en cours de construction à Limassol, un projet énorme qui engage toute la ville.
D’ici 2015, Larnaka devrait également se voire dotée d’une grande marina et d’un terminal de croisière susceptible de devenir une tête de ligne pour les paquebots qui croisent en Méditerranée orientale.
14 golfs sont aussi en préparation, autour de Larnaka notamment, ou de Famagouste.
Et surtout, alors que Chypre doit prendre la présidence de l’Union européenne en juillet 2012, le centre international de congrès de Nicosie sera entièrement refait à neuf.
Comme quoi, on peut être petit et voir grand, même dans une période financièrement chaotique.
D’ici 2015, Larnaka devrait également se voire dotée d’une grande marina et d’un terminal de croisière susceptible de devenir une tête de ligne pour les paquebots qui croisent en Méditerranée orientale.
14 golfs sont aussi en préparation, autour de Larnaka notamment, ou de Famagouste.
Et surtout, alors que Chypre doit prendre la présidence de l’Union européenne en juillet 2012, le centre international de congrès de Nicosie sera entièrement refait à neuf.
Comme quoi, on peut être petit et voir grand, même dans une période financièrement chaotique.
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source: TourMag
