Quelques chiffres donnés par la Direction du Tourisme de Monaco illustrent la montée en puissance de la clientèle russe en Principauté.
Les touristes russes, et plus largement ceux des pays de l’Est, sont de plus en plus nombreux à visiter, voire à séjourner, au pied du Rocher.
Un enthousiasme qui a débuté en 2002 et qui depuis n’a pas faibli.
La preuve de cet engouement pour la destination les vols réguliers et quotidiens qui relient désormais l’aéroport niçois à Moscou, Kiev ou Saint Petersburg.
Une grande partie de cette clientèle désire durant son séjour sur la Côte d’Azur découvrir les charmes de la Principauté.
La Direction du tourisme et des congrès (DTC) précise ainsi qu’en 8 ans la fréquentation de ces touristes « venus du froid » a été multiplié par 4.
Un enthousiasme qui a débuté en 2002 et qui depuis n’a pas faibli.
La preuve de cet engouement pour la destination les vols réguliers et quotidiens qui relient désormais l’aéroport niçois à Moscou, Kiev ou Saint Petersburg.
Une grande partie de cette clientèle désire durant son séjour sur la Côte d’Azur découvrir les charmes de la Principauté.
La Direction du tourisme et des congrès (DTC) précise ainsi qu’en 8 ans la fréquentation de ces touristes « venus du froid » a été multiplié par 4.
Forte progression de la clientèle russe et d'Europe de l'Est
En 2010, les russes ont généré 70.000 nuitées soit 9 % du volume total des nuitées dans les établissements monégasques.
En 2002, ce chiffre n’était que de 17.000 nuitées (2 % de part de marché à l’époque).
Selon les établissements les résultats confirment cette attractivité monégasque auprès des slaves. À l'hôtel Méridien, en juillet, les Russes représentaient un quart des clients, un chiffre en augmentation de 7 % par rapport à 2010.
La SBM constate une forte progression de la part de la clientèle russe et d'Europe de l'Est en particulier pendant la première quinzaine d'août. Cette nouvelle génération de touristes Russes dépense beaucoup. Ils figurent même dans le top du classement des touristes les plus dépensiers derrière les chinois qui sont encore quantitativement faible.
En Principauté, l'âge moyen de ces touristes slaves se situe entre 37 et 44 ans. Leur dépense moyenne varie entre 280 euros et 544 euros par jour selon le type de séjours (affaires et congrès ou loisirs) selon une enquête réalisée en 2010.
Les hôteliers ont commencé à recruter du personnel russe ou russophone. Au Métropole par exemple, cette langue est désormais l’un des critères de recrutement pour certains postes (restauration, réception, relations clientèle). Au Fairmont, maitriser la langue russe comme l’anglais ou l'italien constitue un atout positif à l'embauche pour certains postes.
Face à cette montée en puissance de la clientèle russe, la Direction du tourisme et des congrès possède désormais un bureau à Moscou qui assure le relais de la promotion et organise aussi régulièrement des workshop et des conférences de presse pour entretenir l’image de la destination. En Principauté, certaines de leurs hôtesses s'initient au russe...
Rien n’est de trop pour une clientèle à haut pouvoir d’achat qui correspond parfaitement à la cible touristique de la Principauté.
En 2002, ce chiffre n’était que de 17.000 nuitées (2 % de part de marché à l’époque).
Selon les établissements les résultats confirment cette attractivité monégasque auprès des slaves. À l'hôtel Méridien, en juillet, les Russes représentaient un quart des clients, un chiffre en augmentation de 7 % par rapport à 2010.
La SBM constate une forte progression de la part de la clientèle russe et d'Europe de l'Est en particulier pendant la première quinzaine d'août. Cette nouvelle génération de touristes Russes dépense beaucoup. Ils figurent même dans le top du classement des touristes les plus dépensiers derrière les chinois qui sont encore quantitativement faible.
En Principauté, l'âge moyen de ces touristes slaves se situe entre 37 et 44 ans. Leur dépense moyenne varie entre 280 euros et 544 euros par jour selon le type de séjours (affaires et congrès ou loisirs) selon une enquête réalisée en 2010.
Les hôteliers ont commencé à recruter du personnel russe ou russophone. Au Métropole par exemple, cette langue est désormais l’un des critères de recrutement pour certains postes (restauration, réception, relations clientèle). Au Fairmont, maitriser la langue russe comme l’anglais ou l'italien constitue un atout positif à l'embauche pour certains postes.
Face à cette montée en puissance de la clientèle russe, la Direction du tourisme et des congrès possède désormais un bureau à Moscou qui assure le relais de la promotion et organise aussi régulièrement des workshop et des conférences de presse pour entretenir l’image de la destination. En Principauté, certaines de leurs hôtesses s'initient au russe...
Rien n’est de trop pour une clientèle à haut pouvoir d’achat qui correspond parfaitement à la cible touristique de la Principauté.
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source: TourMag
