La compagnie nationale Tunisair a célébré le 21 octobre son 60ème anniversaire. Le premier transporteur national né le 21 octobre 1948 a jusqu’ici bel et bien résisté à toutes les zones de turbulences ayant marqué le transport aérien dans le monde.
Contre vents et marées, la compagnie a toujours a contribué à la consolidation de la jeune l’économie nationale. Elle a notamment été, depuis sa création, un partenaire privilégié du secteur touristique à travers la multiplication de ses bureaux à l’étranger abritant les représentations de l’Office National du Tourisme (ONTT).
Tunisair a également prêté main forte à l’exportation, fer de lance de l’industrie et de l’agriculture tunisienne.
Avec l’entrée de l’industrie du transport aérien en une période de perturbations due à l’apparition des compagnies low-cost et le renchérissement de la facture carburant, Tunisair a décidé de s’adapter à la nouvelle donne en entamant une vaste opération de restructuration. Celle-ci a consisté à une «segmentation » de la compagnie. Ainsi, plusieurs filiales ont été créées, à l’instar de Tunisair Handling créée en 2005 et spécialisée dans les services de soutien commercial et l’exploitation des aéroports tunisiens ou encore de Tunisair Technics entrée en activité en 2006 et spécialisée dans la maintenance technique des avions.
Dans le nouveau montage technique, on trouve aussi Tunisie Catering, une société créée dans le cadre d’un partenariat stratégique avec « Eurest », le centre de formation des pilotes (ATCT) créé en partenariat avec Airbus et Thalès, et Mauritania Airways lancée en 2007.
Autre chantier important: le renouvellement de la flotte, une stratégie qui s’est traduite par l’achat de seize Airbus auprès du constructeur européen éponyme pour un montant de un milliard d’euros. Parallèlement, le transporteur continue son effort d’amélioration des normes de qualité (ISO 9001 obtenu en 2004 et ISO 9002 obtenu en octobre 2006).
La compagnie qui dispose aujourd’hui d’un capital social de plus de 81 MDT où l’Etat tunisien est majoritaire à presque 65 % et où Air France détient 5,5 %, prévoit aujourd’hui de se renforcer sur les lignes régulières les plus porteuses et de limiter son activité charter dans le cadre d’une stratégie commerciale agressive dictée par un environnement hautement concurrentiel. De quoi prendre davantage de l’altitude…
Contre vents et marées, la compagnie a toujours a contribué à la consolidation de la jeune l’économie nationale. Elle a notamment été, depuis sa création, un partenaire privilégié du secteur touristique à travers la multiplication de ses bureaux à l’étranger abritant les représentations de l’Office National du Tourisme (ONTT).
Tunisair a également prêté main forte à l’exportation, fer de lance de l’industrie et de l’agriculture tunisienne.
Avec l’entrée de l’industrie du transport aérien en une période de perturbations due à l’apparition des compagnies low-cost et le renchérissement de la facture carburant, Tunisair a décidé de s’adapter à la nouvelle donne en entamant une vaste opération de restructuration. Celle-ci a consisté à une «segmentation » de la compagnie. Ainsi, plusieurs filiales ont été créées, à l’instar de Tunisair Handling créée en 2005 et spécialisée dans les services de soutien commercial et l’exploitation des aéroports tunisiens ou encore de Tunisair Technics entrée en activité en 2006 et spécialisée dans la maintenance technique des avions.
Dans le nouveau montage technique, on trouve aussi Tunisie Catering, une société créée dans le cadre d’un partenariat stratégique avec « Eurest », le centre de formation des pilotes (ATCT) créé en partenariat avec Airbus et Thalès, et Mauritania Airways lancée en 2007.
Autre chantier important: le renouvellement de la flotte, une stratégie qui s’est traduite par l’achat de seize Airbus auprès du constructeur européen éponyme pour un montant de un milliard d’euros. Parallèlement, le transporteur continue son effort d’amélioration des normes de qualité (ISO 9001 obtenu en 2004 et ISO 9002 obtenu en octobre 2006).
La compagnie qui dispose aujourd’hui d’un capital social de plus de 81 MDT où l’Etat tunisien est majoritaire à presque 65 % et où Air France détient 5,5 %, prévoit aujourd’hui de se renforcer sur les lignes régulières les plus porteuses et de limiter son activité charter dans le cadre d’une stratégie commerciale agressive dictée par un environnement hautement concurrentiel. De quoi prendre davantage de l’altitude…