S’il fut un temps où on ignorait l’invasion des compagnies à bas coûts, il n’est plus possible aujourd’hui d’occulter cette réalité. En effet, les compagnies nationales passent par de fortes turbulences à cause de cette nouvelle tendance qui fait désormais la pluie et le beau temps dans le transport aérien, non sans avoir un impact direct sur le secteur touristique. D’ailleurs, au moment où le Maroc ainsi que d’autres destinations concurrentes ouvraient leurs cieux à ces transporteurs low cost, la Tunisie persistait à détourner son regard, pour moult raisons.
Pourtant, la décennie écoulée a connu l’entrée en ligne d’une dizaine de compagnies charter et à bas coûts dans le ciel tunisien, dont les transporteurs français Aigle Azur, Air Méditerranée ou XL Airways mais aussi des compagnies allemandes telles que Hapag Fly ou Air Berlin. Et de citer la dernière arrivée qui a fait du bruit dans nos murs et qui n’est autre que celle de Transavia.com, la filiale d’Air France-KLM. Outre ces compagnies charter et low cost, l’aéroport de Monastir va enregistrer l’atterrissage d’un autre transporteur low cost britannique, Thomsonfly en l’occurrence.
Toutes ces arrivées, n’ont pas été sans effets. Tout au contraire, il semble qu’elles sont en train de bousculer la donne et d’amener du coup les compagnies nationales à revoir leurs stratégies, compte tenu des parts de marché qui se sont volatilisés depuis que ces transporteurs opèrent sur la destination. D’autant plus que la Tunisie est amenée à jouer le jeu pour ses intérêts touristiques. En effet, les prix alléchants et défiant toute concurrence, affichés par ces compagnies, attirent sans équivoque les touristes et influent pour beaucoup lors du choix de la destination. En témoigne le bilan de Transavia.com qui au terme de sa 1ère année d’activité sur la Tunisie a transporté 141 000 passagers sur Djerba, Monastir et Tozeur, avec un taux de remplissage moyen de plus de 70%, permettant ainsi au pavillon français de gagner davantage du terrain aussi bien en régulier qu’en charter. Et ce, aux dépens du transporteur national. Et Tunisair de mettre désormais les bouchées doubles sur tous les plans afin de retrouver ses marques et améliorer ses scores. Pour ce réaliser, la compagnie a décidé de renforcer sa flotte mais aussi de revoir sa stratégie de commercialisation en se positionnant sur de nouveaux marchés porteurs et en renonçant à d’autres moins juteux.
Pour leur part, Karthago Airlines et Nouvelair, continuent de préparer le meilleur scénario de rapprochement afin d’assurer un meilleur positionnement ainsi qu’une activité la pus intelligente qui soit, en tenant compte bien évidemment de la nouvelle tendance en transport aérien.
Pourtant, la décennie écoulée a connu l’entrée en ligne d’une dizaine de compagnies charter et à bas coûts dans le ciel tunisien, dont les transporteurs français Aigle Azur, Air Méditerranée ou XL Airways mais aussi des compagnies allemandes telles que Hapag Fly ou Air Berlin. Et de citer la dernière arrivée qui a fait du bruit dans nos murs et qui n’est autre que celle de Transavia.com, la filiale d’Air France-KLM. Outre ces compagnies charter et low cost, l’aéroport de Monastir va enregistrer l’atterrissage d’un autre transporteur low cost britannique, Thomsonfly en l’occurrence.
Toutes ces arrivées, n’ont pas été sans effets. Tout au contraire, il semble qu’elles sont en train de bousculer la donne et d’amener du coup les compagnies nationales à revoir leurs stratégies, compte tenu des parts de marché qui se sont volatilisés depuis que ces transporteurs opèrent sur la destination. D’autant plus que la Tunisie est amenée à jouer le jeu pour ses intérêts touristiques. En effet, les prix alléchants et défiant toute concurrence, affichés par ces compagnies, attirent sans équivoque les touristes et influent pour beaucoup lors du choix de la destination. En témoigne le bilan de Transavia.com qui au terme de sa 1ère année d’activité sur la Tunisie a transporté 141 000 passagers sur Djerba, Monastir et Tozeur, avec un taux de remplissage moyen de plus de 70%, permettant ainsi au pavillon français de gagner davantage du terrain aussi bien en régulier qu’en charter. Et ce, aux dépens du transporteur national. Et Tunisair de mettre désormais les bouchées doubles sur tous les plans afin de retrouver ses marques et améliorer ses scores. Pour ce réaliser, la compagnie a décidé de renforcer sa flotte mais aussi de revoir sa stratégie de commercialisation en se positionnant sur de nouveaux marchés porteurs et en renonçant à d’autres moins juteux.
Pour leur part, Karthago Airlines et Nouvelair, continuent de préparer le meilleur scénario de rapprochement afin d’assurer un meilleur positionnement ainsi qu’une activité la pus intelligente qui soit, en tenant compte bien évidemment de la nouvelle tendance en transport aérien.
M.K