Encore une fois, le Top Résa, a constitué une occasion de plus pour renforcer l’aspect théorique des ambitions du tourisme tunisien. En effet, et depuis quelques années, pour ne pas dire bientôt depuis belle lurette, la Tunisie ambitionne de changer sa façon de faire en matière de tourisme. Après avoir réalisé que le tourisme balnéaire n’était plus en mesure de faire le beau temps de la destination, l’administration du tourisme tunisien avait décidé de prendre le taureau par les cornes et de procéder aux fameuses diversification et régionalisation du produit. Certes, les créneaux existent bel et bien. Mais encore faut-il saisir concrètement ces opportunités. Telle est la question brûlante et récurrente, qui ne semble pas pour autant avoir été résolue.
A entendre encore une fois le discours flatteur des atouts de la Tunisie qui pourrait user de ses richesses culturelles pour séduire et conquérir de nouveaux clients, notamment des marchés lointains ; qui pourrait investir dans ses produits de niche ô combien attrayants ; qui pourrait faire et faire tant et plein de choses grâce à son tourisme aux multiples facettes, l’on se croirait aux meilleurs des jours de la destination.
Or, côté pratique, la communication et encore moins la commercialisation ne suivent pas assez ! La Tunisie souffre plutôt encore et toujours de ses mêmes maux. Pour preuve, depuis qu’on parle de l’étalement de la saison, les bilans ne révèlent pas du nouveau à ce sujet. L’objectif est toujours à l’ordre du jour, en attendant que les taux de remplissage voient des jours meilleurs en dehors de l’été.
A croire les chiffres qui continuent de témoigner des évolutions, tous paramètres et tous marchés confondus, la Tunisie n’aurait plus rien à prouver. Cependant, les marchés stratégiques qui font l’objet de redistribution des cartes en raison de leur forte rentabilité (Allemagne, Italie, Espagne et Angleterre), ne confirment aucunement une relance solide et fiable. Au meilleur des cas, on se réjouirait d’un mouvement en dents de scie.
L’on se demande si la concrétisation des ambitions et le passage à l’action seraient enfin les alliés de notre tourisme ??
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A entendre encore une fois le discours flatteur des atouts de la Tunisie qui pourrait user de ses richesses culturelles pour séduire et conquérir de nouveaux clients, notamment des marchés lointains ; qui pourrait investir dans ses produits de niche ô combien attrayants ; qui pourrait faire et faire tant et plein de choses grâce à son tourisme aux multiples facettes, l’on se croirait aux meilleurs des jours de la destination.
Or, côté pratique, la communication et encore moins la commercialisation ne suivent pas assez ! La Tunisie souffre plutôt encore et toujours de ses mêmes maux. Pour preuve, depuis qu’on parle de l’étalement de la saison, les bilans ne révèlent pas du nouveau à ce sujet. L’objectif est toujours à l’ordre du jour, en attendant que les taux de remplissage voient des jours meilleurs en dehors de l’été.
A croire les chiffres qui continuent de témoigner des évolutions, tous paramètres et tous marchés confondus, la Tunisie n’aurait plus rien à prouver. Cependant, les marchés stratégiques qui font l’objet de redistribution des cartes en raison de leur forte rentabilité (Allemagne, Italie, Espagne et Angleterre), ne confirment aucunement une relance solide et fiable. Au meilleur des cas, on se réjouirait d’un mouvement en dents de scie.
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