A presque l’unanimité des principaux TO qui travaillent sur la Tunisie, la qualité des services jouent encore de très mauvais tours à la destination et lui portent très souvent préjudice. Au salon international du tourisme, Top Résa, tenu récemment à Paris, responsables et professionnels tunisiens ont mis le doigt, pour la énième fois sur ce maillon faible de la chaîne touristique en Tunisie.
En effet, Khelil Laâjimi, le ministre du tourisme, a rappelé qu’il n’était plus question de lésiner à ce niveau. Surtout que ces pratiques se répercutent principalement sur les prix affichés par la destination. En d’autres termes, un rapport qualité-prix qui éviterait tout éventuel bradage, est incontournablement tributaire de la qualité des services. Ce qui est loin d’être le cas dans nos murs !
Abondant dans ce même sens, René Trabelsi, le Président de Royal First Travel, a également tiré la sonnette d’alarme quant à la qualité des services, qui laisse à désirer, aux dépens des scores de la destination. A son avis, il est grand temps de se pencher sur cette question et d’accorder d’avantage d’intérêts à la formation professionnelle et aux ressources humaines dans le secteur hôtelier.
En effet, Khelil Laâjimi, le ministre du tourisme, a rappelé qu’il n’était plus question de lésiner à ce niveau. Surtout que ces pratiques se répercutent principalement sur les prix affichés par la destination. En d’autres termes, un rapport qualité-prix qui éviterait tout éventuel bradage, est incontournablement tributaire de la qualité des services. Ce qui est loin d’être le cas dans nos murs !
Abondant dans ce même sens, René Trabelsi, le Président de Royal First Travel, a également tiré la sonnette d’alarme quant à la qualité des services, qui laisse à désirer, aux dépens des scores de la destination. A son avis, il est grand temps de se pencher sur cette question et d’accorder d’avantage d’intérêts à la formation professionnelle et aux ressources humaines dans le secteur hôtelier.