Suite à la publication du troisième rapport d’étape de l’enquête du BEA sur le crash du vol Air France Rio-Paris en 2009, le SNPL réagit. Selon le syndicat, les pilotes de l’appareil n’avaient pas reçu de formation de la part du constructeur afin de faire face à une telle situation.
« Les pilotes se sont alors trouvés confrontés à une situation extrêmement délicate, inattendue et complexe, déclare Jean-Louis Barbier, président su SNPL Air France ALPA.
Une situation totalement inédite pour laquelle le constructeur n’avait jamais prévu de les former, avec peu de temps pour la diagnostiquer. »
Le syndicat pointe également le dysfonctionnement de l’alarme de décrochage de l’avion. Elle se serait activée lorsque les pilotes agissaient dans le bon sens, et inversement.
source: TourMag