La compagnie aérienne low-cost Transavia prend de l’altitude… sur l’axe franco-tunisien. Au cours de sa première année d’activité en Tunisie, la compagnie aérienne a réalisé plus de 1000 vols réguliers sur les trois aéroports tunisiens qu’elle dessert (Djerba, Monastir et Tozeur) en plus des vols irréguliers affrétés directement par des tours opérateurs, selon un bilan publié récemment par la compagnie.
Selon ce même bilan la filiale loisir d’Air France-KLM a transporté 141 000 passagers, dont 76 000 en vols réguliers sur Djerba, 53 000 sur Monastir et 12 000 sur Tozeur, soit un taux de remplissage moyen de plus de 70%.
Ces résultas ont été jugés « excellents » l’heure où le transport aérien passe par des zones de fortes turbulences par Lionel Guérin, président de la compagnie, qui avait précisé lors d’une conférence de presse tenue récemment à Monastir que la Tunisie restera une priorité pour Transavia.
La compagnie dont les tarifs défiant toute concurrence s’est taillée la part du lion sur l’axe franco-tunisien 26,6 % du trafic aérien global de la Tunisie. Elle a ainsi grignoté des parts de marchés importants aux transporteurs tunisiens, en l’occurrence Tunis air, Karthago Airlines et Nouvelair. D’autant plus qu’elle travaille pour les voyagistes partenaires actuels du groupe disposent de chaînes hôtelières dans le pays comme Club Med, Fram, Nouvelles Frontières.
Lancée en mai 2007 avec l’ambition d’offrir à « des prix compétitifs » des vols réguliers et non réguliers au départ d’Orly-Sud vers une quinzaine de destinations loisirs dans les pays du Bassin méditerranéen, dont la Tunisie et le Maroc, Transavia s’adresse aux clients directs (les particuliers) et aux voyagistes
Les compagnies tunisiennes ont préparé des parades à cette stratégie agressive de Transavia. Tunisair avait procédé au lendemain de l’arrivée de la compagnie low-cost à la restructuration de sa filiale charter Tuninter. Rebaptisée Sevenair, cette filiale du transporteur national assure, en plus de ses traditionnels vols intérieurs, des dessertes de certaines capitales européennes. La restructuration s’inscrivait, selon un communiqué de Tunisair, dans le cadre « d’une nouvelle politique commerciale fondée sur la complémentarité entre les réseaux de Sevenair et ceux de la compagnie nationale Tunisair, et de l’adoption de nouveaux modes de commercialisation des services de transport aérien ».
De leur côté, les deux compagnies tunisiennes privées Nouvelair et Karthago Airlines, qui opèrent toutes deux des vols charters et réguliers, notamment sur Paris, s’apprêtent à appliquer le slogan de l’union fait la force pour maintenir leurs parts de marché.
Selon ce même bilan la filiale loisir d’Air France-KLM a transporté 141 000 passagers, dont 76 000 en vols réguliers sur Djerba, 53 000 sur Monastir et 12 000 sur Tozeur, soit un taux de remplissage moyen de plus de 70%.
Ces résultas ont été jugés « excellents » l’heure où le transport aérien passe par des zones de fortes turbulences par Lionel Guérin, président de la compagnie, qui avait précisé lors d’une conférence de presse tenue récemment à Monastir que la Tunisie restera une priorité pour Transavia.
La compagnie dont les tarifs défiant toute concurrence s’est taillée la part du lion sur l’axe franco-tunisien 26,6 % du trafic aérien global de la Tunisie. Elle a ainsi grignoté des parts de marchés importants aux transporteurs tunisiens, en l’occurrence Tunis air, Karthago Airlines et Nouvelair. D’autant plus qu’elle travaille pour les voyagistes partenaires actuels du groupe disposent de chaînes hôtelières dans le pays comme Club Med, Fram, Nouvelles Frontières.
Lancée en mai 2007 avec l’ambition d’offrir à « des prix compétitifs » des vols réguliers et non réguliers au départ d’Orly-Sud vers une quinzaine de destinations loisirs dans les pays du Bassin méditerranéen, dont la Tunisie et le Maroc, Transavia s’adresse aux clients directs (les particuliers) et aux voyagistes
Les compagnies tunisiennes ont préparé des parades à cette stratégie agressive de Transavia. Tunisair avait procédé au lendemain de l’arrivée de la compagnie low-cost à la restructuration de sa filiale charter Tuninter. Rebaptisée Sevenair, cette filiale du transporteur national assure, en plus de ses traditionnels vols intérieurs, des dessertes de certaines capitales européennes. La restructuration s’inscrivait, selon un communiqué de Tunisair, dans le cadre « d’une nouvelle politique commerciale fondée sur la complémentarité entre les réseaux de Sevenair et ceux de la compagnie nationale Tunisair, et de l’adoption de nouveaux modes de commercialisation des services de transport aérien ».
De leur côté, les deux compagnies tunisiennes privées Nouvelair et Karthago Airlines, qui opèrent toutes deux des vols charters et réguliers, notamment sur Paris, s’apprêtent à appliquer le slogan de l’union fait la force pour maintenir leurs parts de marché.