L’hôtellerie française a poursuivi sa croissance en mai 2011, selon la dernière étude de l'Observatoire Deloitte.
Tous les segments de l' hôtellerie française ont connu des performances satisfaisantes en mai, selon la dernière étude de l'observatoire Deloitte.
De nombreuses agglomérations enregistrent même des taux de croissance à deux chiffres, en particulier sur les segments 2 et 3 étoiles. Parmi les plus fortes hausses, notons celles d’Angers, Nancy, Nantes, Reims, Rennes, Rouen ou encore Toulouse.
A Paris, les taux d’occupation ont dépassé les 82% dans toutes les catégories, favorisés par un calendrier propice au tourisme d’affaires, avec l’absence de ponts pour les 1er et 8 mai (comme en 2010).
En Ile-de-France, après un premier trimestre caractérisé par des performances disparates, l’ensemble des segments hôteliers a progressé en mai. L’hôtellerie 2 et 3 étoiles est à l’honneur avec des hausses significatives de Revenu moyen par chambre disponible (RevPAR), jusqu’à +32% pour l’hôtellerie 3 étoiles des Yvelines.
De nombreuses agglomérations enregistrent même des taux de croissance à deux chiffres, en particulier sur les segments 2 et 3 étoiles. Parmi les plus fortes hausses, notons celles d’Angers, Nancy, Nantes, Reims, Rennes, Rouen ou encore Toulouse.
A Paris, les taux d’occupation ont dépassé les 82% dans toutes les catégories, favorisés par un calendrier propice au tourisme d’affaires, avec l’absence de ponts pour les 1er et 8 mai (comme en 2010).
En Ile-de-France, après un premier trimestre caractérisé par des performances disparates, l’ensemble des segments hôteliers a progressé en mai. L’hôtellerie 2 et 3 étoiles est à l’honneur avec des hausses significatives de Revenu moyen par chambre disponible (RevPAR), jusqu’à +32% pour l’hôtellerie 3 étoiles des Yvelines.
Une bonne croissance également en Province
En Province, la croissance observée résulte de la hausse conjuguée des taux d’occupation et des prix moyens. Les augmentations de recettes hébergement ont toutefois été plus modérées qu’en Ile-de-France, gagnant en moyenne de 6% pour l’hôtellerie milieu et haut de gamme.
Sur le marché économique, l’évolution de RevPAR s’échelonne de -0,6% à +5,8% selon les régions.
Les hôteliers de la plupart des grandes agglomérations ont également le sourire. Seuls les marchés montpelliérains et dijonnais sont restés en retrait en mai sur les segments 2 à 5 étoiles.
Nice a vécu une situation similaire et se distingue des autres destinations de la Côte d’Azur par une fréquentation hôtelière en baisse. Les hôtels de Cannes et Monaco ont quant à eux réalisé de très bonnes performances de fréquentation, enregistrant un retour des clientèles étrangères.
Sur le marché économique, l’évolution de RevPAR s’échelonne de -0,6% à +5,8% selon les régions.
Les hôteliers de la plupart des grandes agglomérations ont également le sourire. Seuls les marchés montpelliérains et dijonnais sont restés en retrait en mai sur les segments 2 à 5 étoiles.
Nice a vécu une situation similaire et se distingue des autres destinations de la Côte d’Azur par une fréquentation hôtelière en baisse. Les hôtels de Cannes et Monaco ont quant à eux réalisé de très bonnes performances de fréquentation, enregistrant un retour des clientèles étrangères.
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source: TourMag