Des promesses... toujours des promesses ! Comment et pourquoi les professionnels du tourisme devraient-ils faire confiance à une destination qui ne règle pas ses créanciers ?
Trop c’est trop ! Cette fois-ci, les médias professionnels à qui l’Algérie doit, depuis plus de 3 ans, toujours plusieurs dizaines de milliers d’euros, se mobilisent.
En effet, il se pourrait que du côté du stand de l’Algérie au Salon Mondial du tourisme, il y ait un peu d’animation cette année, car la presse pro a prévu, faute d’être payée, de faire saisir par voie d’huissier le mobilier du stand et d’interpeller à ce sujet les dirigeants de l’ONT.
M. Hadjsaid, DG de l’ONT d’Algérie s’était engagé à faire payer leurs factures avant le 29/02/12.
Mais force est de constater que la parole de ce Monsieur n’a pas beaucoup de valeur car, malheureusement, aucun virement n’a été effectué à l’heure où nous écrivons ces lignes.
Notre dernière relance auprès de Mme Hadjam (son adjointe) n’a produit aucun effet concret, sinon de grandes déclarations par mail aussi vaines que le résultat. Force est de constater que les dirigeants passent et les dettes restent à l’ONTT.
Quel professionnel français voudrait être partenaire d’une destination et d’un pays qui s’engage sur le plan contractuel et ne règle pas des créances qui se chiffrent à peine à quelques dizaines de milliers d’euros ?
Nous conseillons donc à tous les professionnels du tourisme de faire preuve de la plus grande vigilance en matière de paiement avec cet organisme gouvernemental qui ne respecte ni les engagements contractuels ni la parole donnée.
En effet, il se pourrait que du côté du stand de l’Algérie au Salon Mondial du tourisme, il y ait un peu d’animation cette année, car la presse pro a prévu, faute d’être payée, de faire saisir par voie d’huissier le mobilier du stand et d’interpeller à ce sujet les dirigeants de l’ONT.
M. Hadjsaid, DG de l’ONT d’Algérie s’était engagé à faire payer leurs factures avant le 29/02/12.
Mais force est de constater que la parole de ce Monsieur n’a pas beaucoup de valeur car, malheureusement, aucun virement n’a été effectué à l’heure où nous écrivons ces lignes.
Notre dernière relance auprès de Mme Hadjam (son adjointe) n’a produit aucun effet concret, sinon de grandes déclarations par mail aussi vaines que le résultat. Force est de constater que les dirigeants passent et les dettes restent à l’ONTT.
Quel professionnel français voudrait être partenaire d’une destination et d’un pays qui s’engage sur le plan contractuel et ne règle pas des créances qui se chiffrent à peine à quelques dizaines de milliers d’euros ?
Nous conseillons donc à tous les professionnels du tourisme de faire preuve de la plus grande vigilance en matière de paiement avec cet organisme gouvernemental qui ne respecte ni les engagements contractuels ni la parole donnée.
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source: TourMag
