L’ACTE, Association of Corporate Travel Executives dont l’association française AFTM est partenaire, tient actuellement sa conférence annuelle, «global education conférence » à Paris avec un thème dominant : l’agent de voyages se doit désormais de suivre son client d’un bout à l’autre de son déplacement et de prévenir le moindre incident de parcours. La leçon du volcan islandais a été apprise…
Un millier de participants venus principalement des Etats-Unis mais également de Russie, d’Inde et des divers pays européens sont venus découvrir les dernières tendances en matière de voyage d’affaires.
Rien de révolutionnaire dans les discours des différents intervenants sauf à rappeler que « notre univers est désormais truffé de technologies qui permettent d’améliorer la qualité de vie, de faire des économies et de créer son propre univers social », selon les mots de Ron DiLeo, le directeur général de l‘ACTE..
La tendance est bien désormais pour les agents de voyages Affaires de pouvoir joindre les voyageurs à tout moment et de pouvoir être joints en retour avec la même facilité.
Mieux encore, l’agent de voyages se doit de pouvoir prévoir les anicroches survenant au cours du déplacement d’un de ses clients et de lui proposer une solution alternative.
En cela, l’épisode du volcan islandais a mis un coup d’accélération aux développements d’applicatifs destinés à gérer les imprévus.
Bruno Matheu, le vice président marketing et revenue management d’Air France/KLM explique ainsi qu’il est impératif de tourner les événements inattendus en opportunités.
Rien de révolutionnaire dans les discours des différents intervenants sauf à rappeler que « notre univers est désormais truffé de technologies qui permettent d’améliorer la qualité de vie, de faire des économies et de créer son propre univers social », selon les mots de Ron DiLeo, le directeur général de l‘ACTE..
La tendance est bien désormais pour les agents de voyages Affaires de pouvoir joindre les voyageurs à tout moment et de pouvoir être joints en retour avec la même facilité.
Mieux encore, l’agent de voyages se doit de pouvoir prévoir les anicroches survenant au cours du déplacement d’un de ses clients et de lui proposer une solution alternative.
En cela, l’épisode du volcan islandais a mis un coup d’accélération aux développements d’applicatifs destinés à gérer les imprévus.
Bruno Matheu, le vice président marketing et revenue management d’Air France/KLM explique ainsi qu’il est impératif de tourner les événements inattendus en opportunités.
Il explique ainsi que la compagnie offre désormais un réseau virtuel en complément du réseau aérien.
Une présence affirmée dans les médias sociaux qui permet de gagner des fans et des amis, de neutraliser les critiques négatives, de tourner les avis neutres en arguments positifs et surtout de décrocher des ventes…
Pour Valérie Sasset, la directrice France du réseau de voyages d’affaires BCD Travel, il est important, pour les agents de voyages d’utiliser les nouveaux réseaux sociaux.
« Chez BCD Travel, nous communiquons à l’interne depuis déjà deux ans sur Twitter ou d’autres médias sociaux au détriment de l‘email classique».
Une façon de se mettre au diapason avec les voyageurs d’affaires des générations les plus jeunes « et les plus difficiles à discipliner car ils préfèrent suivre que les avis de leurs réseaux sociaux sur le net plutôt que la politique voyages de leurs entreprises »…
Une présence affirmée dans les médias sociaux qui permet de gagner des fans et des amis, de neutraliser les critiques négatives, de tourner les avis neutres en arguments positifs et surtout de décrocher des ventes…
Pour Valérie Sasset, la directrice France du réseau de voyages d’affaires BCD Travel, il est important, pour les agents de voyages d’utiliser les nouveaux réseaux sociaux.
« Chez BCD Travel, nous communiquons à l’interne depuis déjà deux ans sur Twitter ou d’autres médias sociaux au détriment de l‘email classique».
Une façon de se mettre au diapason avec les voyageurs d’affaires des générations les plus jeunes « et les plus difficiles à discipliner car ils préfèrent suivre que les avis de leurs réseaux sociaux sur le net plutôt que la politique voyages de leurs entreprises »…
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source: TourMag
